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tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 31 mai 2017, 18:48
par Marie_May
Quand vous aurez lu cet article du Canard (ou celui du Diplo, plus approfondi et écrit par l'auteur du bouquin), vous serez ravi de bichonner vos tomates.https://img15.hostingpics.net/pics/370083348.jpg

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 31 mai 2017, 20:10
par Chichinette 11
:o

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 31 mai 2017, 20:51
par Mianne
Marie-May, continue à faire tes conserves de tomates :mrgreen:

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 01 juin 2017, 11:04
par Marie_May
T'inquiète, je ne risque pas de m'arrêter. J'adore les tomates sous toutes leurs formes. Sauf industrielles.
Mais franchement j'ignorais qu'on avait élaboré une ou des tomates spéciales pour la mauvaise conserve et suffisamment dure pour subir des voyages en cuve...
Mio m'avait parlé de l'article du Diplo dans lequel (entre autres détails) un africain (peut-être même l'auteur du livre et de l'article) racontait que sa femme n'achetait plus les belles tomates du marché, bien fraîches et gouteuses. Trop long à cuisiner... Hop, une cuillérée de concentré pourri et revisité, c'est tellement plus simple!

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 01 juin 2017, 13:47
par Claude
Cette année, je vais leur piquer leur place de marchè !!!

:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 02 juin 2017, 18:06
par Claire
Mouais si le mildiou nous laisse tranquille

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 02 juin 2017, 21:05
par Mianne
Restons optimistes :mrgreen: L'an dernier le mildiou est arrivé de bonne heure à cause du printemps pourri. Ce n'est pas le cas cette année. On croise les doigts.

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 02 juin 2017, 23:32
par Claude
Et puis on a un traitement préventif. Merci à Nicandra.



Aujourd'hui, j'ai fait chauffer la CB à la Coopé, j'ai acheté un vaporisateur pour passer le bicarbonate sur les tomates.

Et j'ai acheté le mini moto-culteur de location (celui que j'avais loué)
en ayant fait une offre de 200 puis de 250 € (soit la moitié de 530 € qui était le prix d'achat par la coopé qui, elle, le vendait neuf 900€). Avec une petite garantie. Je crois avoir fait une affaire. Ce qui n'est pas dans mes habitudes. ;)

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 03 juin 2017, 12:19
par Marie_May
On dirait bien, Claude! Et puis au moins, ce motobineur-là, tu le connais.

Il pleut des cordes aujourd'hui. Moi qui voulait tailler mes tomates, c'est remis à plus tard...

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 16 juin 2017, 09:23
par Chichinette 11
Par hasard je viens de tomber sur la source de l'article du canard :
http://www.fayard.fr/lempire-de-lor-rouge-9782213681856
Ceux qui disposent d'une bibliothèque municipale performante peuvent peut-être en faire passer commande.

Re: tomate, son concentré et son industrialisation

Posté : 16 juin 2017, 14:02
par Mianne
Ben c'est effrayant. Et ça donne envie de couvrir son jardin de plants de tomates. Pas plus rassurant que pour les tomates qu'"on" achète (pas moi. Si j'en ai pas, j'en mange pas). Plus des 3/4 sont cultivées hors sol :shock: Comme si, nous, on nous nourrissait avec des perfusions. Un monde de dingues :twisted: Fric-fric-fric, hourra !