ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Hum ! Le numéro du magazine hebdo Rustika mérite l’attention des jardiniers
qui se demandent bien quels légumes de régions traditionnellement plus chaudes
conviendraient désormais à nos jardins de zone tempérée qui l’est de moins en moins.

Chichi a écrit : ↑

17 avr. 2024, 12:56

Celle-ci a eu => de la chance.

Quel bel oiseau. En vrai et en liberté, j’avais vu une huppe fasciée au sommet d`un noyer. Joli nom latin :lol: Upupa epops.

J’avais photographié en juillet 2017, un promontoire rocheux de 300 m. aperçu depuis de nombreux points de vue du littoral, le Baou de St Jeannet dans toute sa splendeur. :mrgreen: Un peu de tourisme :mrgreen: , IMG_8855.jpeg . On le voit comme un « nez » dans le lointain. Cette falaise une une anom...

Chaud, chaud, chaud, les artichauts !
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Hum!
Disons : brachychiton à feuilles d’érable ! Rire.

Installation en pleine terre de presque tous les pieds de tomate et des pieds de courgettes d’Albenga

Visite de l’inspecteur pour l’installation de panneaux solaires. Lesquels sont toujours en attente du retour des techniciens !!! En espérant qu’il ne pleuvra pas ce jour-là

Je me force aussi à nommer les végétaux de rencontre et à tenter d’en mémoriser le nom latin. (Langue que je n’ai jamais étudiée) Pour m’entraîner et pas pour en foutre plein la vue.

Ça revient parfois, c’est bizarre.

Erreur vue en me relisant. Je parlais de l’OCA du Pérou (que l’oublieux n’a toujours pas mis en terre) et pas LOCAL !!

Des rafales de vent sont annoncées. Vigilance sur le 06.

J’ai de + en + de trous de mémoire. Je fais des efforts pour me rappeler des mots qui vont sur les choses. Ces mots qui les habillent, qui les désignent. . IMG_7509.jpeg . Souvent je passe bcp de temps à retrouver un mot qui m'échappe. Ça me demande un gros effort mental. Beaucoup de défaites pour q...

De la Comédie humaine à l’omelette de Pàques.
De Juliette et Roméo à la de fin du ramadan catho.

Bri. Les fleurs de mes mauves sont moyennes. Rires. . Plume, oui, j?avais besoin de me rappeler que l’on n’a rien sans rien ! Le pied difficile à extirper était un pied qui avait été mal arraché les ans passés et conséquemment il s’était renforcé façon centrale nucléaire. Å vue de nez, de la diamètr...

Le faucheux fâché (mais pas facho)
Époux de la grande faucheuse.

J’ai préparé qq trous de plantation de légumes, et passé un quart d’heure à arracher, extirper, démonter les racines puissantes d’un seul pied de mauve !
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:oops:

Je pensais voter pour la candidate des Écolos. Je trouve qu’en tant que figure politique, M.Toussaint « impressionne » peu. Alors qu’elle aurait un boulevard devant elle en se battant contre la l’interdiction et la pénalisation de la marie-jeanne (ce qu’elle fait, elle en parle mais « en douce » san...

C’était pas ragoûtant ?

Les noms vernaculaires c’est toujours un peu la foire (d’où l'intérêt du nom latin). J’avais trouvé buglosse comme synonyme de la vipérine vulgaire dans un site. . Description Usage commun : La vipérine illumine tout l’été les massifs en compagnie d’annuelles ou vivaces de couleur rose ou jaune. En ...

Oui il s’agit d’ un tipule ou cousin … qui, il y a longtemps, me donnait l’impression d’avoir à faire avec un très gros moustique qui ne pique pas. Et tapi en l’air, aux aguets, une araignée a très longues et fines pattes qui adore « rester à la maison » appelée pholque. Quand, en me rapprochant pou...

Dans ma cuisine, près d’un pholque suspendu en l’air comme un équilibriste
sur des fils invisibles, un tipule faisait la pose. J’admire la finesse incroyable
de ces tout petits corps.
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« Regouillé » ?

Le mot appartient au dico des mots emplumés ou est-ce un régionalisme ?

Rassasiée, tu es ?

Très joli...chez moi la vipérine, c'est surtout ça : P1030869.jpg P1200062.jpg Autrement c'est une petite couleuvre !!! :P Marc. La vipérine vulgaire, traduction paresseuse :P sans doute du latin, Echium vulgare , appelée aussi buglosse, j’en rencontre beaucoup en promenade parmi les herbes folles.

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L’an dernier, le 22.04.23.
Un flambė, Iphiclides podalirius, butinant les fleurs
de notre vipérine de Madère, Echium candicans.

À cliquer !

Brigitte. J’en avais deux dans mon jardin l’an dernier. Et plus qu’une vipérine de Madère cette année. D’une petite graine, l’on a un développement impressionnant, un gros arbuste. Ses fleurs régalent les butineurs et butineuses.
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Ménon Marc, une fois trouées, en général sur un des côtés, il n’y a plus que la poubelle !