ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Claude, décidément, ta bonté te perdras, on dirait que tu excuses ce bon vieux Vlad parce que personne ne lui dit qu'il décoconne!
du style "mais c'est pas sa faute, il est si mal entouré"!

Voui, tu m’as vraiment bien compris.

C’est pas de sa faute. Quand il était petit, Vlado, un enfant délicat et timide était le souffre-douleur d’une bande de garnements ukrainiens qui le tourmentaient en lue traitant de «  Sale fils de putine « . T’imagines les dégâts chez un malade de la propreté. Il a pourtant résisté jusqu’à ces jours-ci, mais à la veille de ses 70 ans, âge fatidique ! plouf ! il a pété les plombages.

Moi, on m’appelait Gros Plein de Soupe, et ça m’a poursuivi. J"ai dû surveiller ma ligne. Gros plouf ! Depuis qq temps, j?ai craqué. Ce soir je m’en suis préparé pour ……… trois jours. tu t’ rends compte de la soupe pendant 3 jours, midi et soir !
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:oops:
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ÉGE, dis, tu ne serais pas spychanalyste, toi ?

En lisant comment Vladimir Poutine justifie son invasion, en épluchant ses « raisons » totalement déraisonnables (genocide, denazification), cela m’a rappelé la célèbre fable Le loup et l’agneau.
Dont revoici le texte :
https://www.jardins-ici-on-seme.fr/view ... 71#p122671
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Les « raisons » que donne Poutine dans une interview de J-S Mongrenier publiée par LM :
https://www.lemonde.fr/international/ar ... _3210.html
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Extrait :

Question :
Le président russe a aussi affirmé à de nombreuses reprises que l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) menaçait sa sécurité et martelé son exigence que l’Ukraine ne rejoigne jamais l’alliance. Comment expliquer l’exacerbation de ces menaces à l’encontre de l’OTAN ?

Réponse :
Les dirigeants russes ont un double discours sur l’OTAN. Sur le plan extérieur, ils font mine de s’inquiéter et en parlent comme s’il s’agissait d’une entité diabolique en pleine « expansion », comme si les alliés opéraient des conquêtes. Entre eux et dans leurs médias, les dirigeants russes et les « intellectuels organiques » du Kremlin qualifient pourtant l’OTAN de tigre de papier. Ils affirment que les Occidentaux, définitivement rétifs à la guerre et à toute épreuve de force, sont stratégiquement déclassés et historiquement dépassés. Ils n’ont que mépris pour l’OTAN et, plus encore, pour ses membres européens. Affirmer que la Russie a été « provoquée » par l’« expansion » de l’OTAN est une contre-vérité.

Par ailleurs, il n’y a pas de consensus entre alliés pour accepter l’Ukraine au sein de l’Alliance atlantique, ce qui explique le report sine die de sa candidature. Sur le principe, l’OTAN est ouverte à tout Etat européen qui fait une demande d’adhésion mais, en pratique, cette politique de la « porte ouverte » est suspendue. Vladimir Poutine le sait très bien.

La question de l’OTAN est un leurre. La Russie n’est pas sur la défensive, elle est à l’offensive : Vladimir Poutine veut s’emparer du territoire ukrainien, en prendre le contrôle politique, stratégique et militaire. Le démantèlement de ce territoire a commencé en 2014, avec la Crimée et le tiers du Donbass. Mais cette grande entreprise de conquête territoriale avait commencé bien plus tôt, en août 2008, lorsque deux régions séparatistes de Géorgie, l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud, étaient passées sous le contrôle de Moscou, après une guerre d’agression russe.

Le maître du Kremlin se pose en « rassembleur des terres russes » et il veut s’emparer de territoires autrefois conquis et dominés, en dépit du fait que les Etats post-soviétiques sont reconnus sur le plan international et représentés à l’Organisation des Nations unies.

Claude a écrit : ↑

25 févr. 2022, 16:15

OK. Marc. Un verbatim sera (presque) toujours plus intéressant qu’une petite phrase écartée de son contexte.

Mais…
Peux-tu me dire en quoi soit Libé, soit Le Monde sont fautifs dans leur publication ?

j'ai évoqué Libé et le Monde, il n'y a pas qu'eux, il y a aussi l'Express, l'Obs, Médiapart, Marianne, chaines infos radio ou télé etc...

Parce que bien souvent, trop souvent, les journalistes ne partent pas des faits mais d'infos tronquées ou non vérifiées ou encore par omission -sorties de leur contexte et donc remises dans un cadre qui modifie les propos-. j'ai maintes fois repéré qu'une infos circule à partir d'une affirmation venant -par exemple- de l'AFP qui elle-même n'a jamais pris le temps d'en vérifier la véracité, ou encore s'appuie sur des déclarations de femmes ou homme politique -tel Jadot, telle Hidalgo- qui transforment sans vergogne les positions de JLM. En fait là je parle de JLM mais il n'est seul à être l'objet des "malversations" de journalistes.
Ces derniers veulent-ils faire le "buz", attirer la couverture à eux ? Sans doute, mais ce n’est pas la seule raison je crois. Les conditions dans lesquelles ils exercent leur métier est à voir de plus près. D'autres sont grassement rémunérés et ne veulent pas tuer le veau d'or. Le monde médiatique est à réformer en profondeur...
Donc, c'est vrai qu'ayant appris à lire entre les lignes, je m’appuie davantage sur une certaine presse, peu visible ou malheureusement invisible -presse indépendante- qui existe en portant l'info à bout de bras.... Ce qui ne met personne à l'abri. Bien entendu, il faut aussi faire la différence avec des convictions politiques, bien légitimes. J'excepte l'extrême-droit bien sûr....

Pour reprendre la discussion à propos de l'agression de Poutine en Ukraine, j'attire l'attention sur le fait que si nous voulons comprendre les données de cette guerre, il faut impérativementtout poser à plat. Dans l'état, la condition première est d'être solidaire et soutien des Ukrainiens par un cesser le feu, d'un retrait des troupes Russes ET d'empêcher sous une forme ou autre toute extension du conflit. Une partie de la solution est à l'ONU et non pas, surtout pas, à l'OTAN... Il va falloir descendre dans la rue.

Marc. Moi aussi j’ai appris à 74 hivers à lire entre les lignes. Et je sais à peu près faire la différence entre un ensemble de faits et la façon de les présenter qui implique des options, des croyances, des jugements a priori qui eux restent des biais.

Ce que tu essaies de faire mais tu n’y arrives pas toujours, comme tout le monde. Et la lecture de sources que tu revendiques ne me rassure pas plus que ça car ta confiance en elles n’est pas rassurantes. Je crains que tu ne mesures pas leurs biais. Hier, j’ai eu comme toi des croyances semblables et donc des biais. J’ignorais souvent l'existence de mes propres ignorances, lacunes, filtres de lecture.
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Marc.Sur les positions de la gauche,
et surtout celles de Mélenchon concernant la Russie, je constate que tu bottes en touche.


Je te demandais ce qui n’allait pas dans les articles
que j’avais pris la peine de mettre en forme
pour une meilleure lisibilité, et j’attends tes critiques.
En quoi les journalistes qui ont rédigé ces 2 articles
se sont-ils trompés.……… ou veulent-ils nous tromper ?

Les citations mises dans la bouche de ton candidat sont—elles fausses ?

Il va falloir descendre dans la rue.

Avec mes béquilles? Non merci!

Plumier.

Il y a béquille et béquille.
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Marc.

Quant à l’OTAN, elle a changé de profil. J’ai Grande envie de dire aux Insoumis de renouveler leurs logiciels. Les temps ont changé !

Née pour faire pièce aux risques de guerre entre Blocs de l’Est et de l’Ouest, opposant Socialisme (même dévoyé) et Capitalisme, dans le cadre d’un conflit pays capitalistes VS pays non capitalistes, l’OTAN aurait pu/dû disparaître avec la victoire du capitalisme dans les pays du Bloc de l’Est. Dans nos jeunes années, un militant de gauche pouvait militer contre cette institution favorable au capitalisme. C’était logique. Ça pouvait se comprendre.

Aujourd’hui, la Russie est devenue un pays capitaliste encore plus libéral que le nôtre (libéral = avec une régulation soit absente soit plus accommodante que les règles qui ont cours en Europe), et donc l’OTAN n’a plus de raisons d’être. En Europe, l’OTAN est un vestige. Ou plutôt était un vestige tant que l’ogre russe n’exprimait pas par de multiples prédations son appétit d’ogre (Géorgie, Tchétchénie, Crimée) et ses sympathies pour d’autres ogres sanguinaires (Syrie). Paradoxalement, les agressions du dictateur russe pourraient réformer, revivifier, refonder l’OTAN (entre autre effet paradoxal). Bravo Poutine.

Une réflexion que j'ai trouvée très intéressante dans la bouche d'une journaliste hier:

"Poutine a peur.
Il a peur de la démocratie".

En effet, il y a de la peur mais aussi beaucoup de mépris pour les démocraties qu’ils perçoit comme molles, et faibles. Lui fait parti des puissants qui n’ont pas à tenir compte des opinions publiques et qui ne doivent pas rendre des comptes à leurs mandants. Par des tours de passe-passe 1) en faisant semblant d’alterner de fonction avec son premier ministre, il est resté au pouvoir 20 ans, puis 2) en refaisant la constitution, il s’est fait accorder plus de temps de pouvoir.

La démocratie pour lui est inefficace. Avec l’Ukraine, il se conduit comme le loup face à l’agneau. Quoiqu’on lui dise, il a toujours raison puisqu’il se sent fort. «  Si ce n’est toi, c?est donc ton frère. »

On aurait pu croire que les photos de lui torse nu comme un Tarzan, ou à cheval, à la chasse au gros étaient des anecdotes sans substance. En fait, ces photos communiquaient bien sur le personnage. On aurait mieux fait de ne pas en sourire.
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Putin aussi un jour devra y croire! depuis ses photos en biscotos, il a quand même déjà pas mal flétri le gonze!

Et ses idées, elles vont flétrir elles aussi?

j'espère, serai même prêt à bruler un cierge pour le bien de la sainte russie, nonobstant mon anticléricalisme!

Je n'ose croire à ce que je crois avoir entendu: IL aurait "mis en alerte le système nucléaire " ? :shock:

Vérifie les piles de ton appareil auditif avant de nous fiche la trouille.

la ou tu m'inquièterais, c'est si le dispositif d'alerte nucléaire n'était pas activé!

plumee a écrit : ↑

27 févr. 2022, 17:10

Je n'ose croire à ce que je crois avoir entendu: IL aurait "mis en alerte le système nucléaire " ? :shock:

En principe, ces choses-là sont constamment prêtes à être mises en service dans tous les pays bénéficiant de la dissuasion nucléaire.

Plume a raison, l’annonce dont elle parle a été entendue sur France Info qui est me semble-t-il la chaîne en continu la plus intéressante. Dans un moment j’écouterai les émissions de France5.
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La menace nucléaire avait déjà été entendue dans la bouche du tyran à ce moment sous la forme d’une boutade glaçante. C’est une folie. En principe, on ne peut utiliser pour de vrai les moyens nucléaires. Si Poutine appuie sur le bouton, le Kremlin a minima sera vitrifié car quels que soient les dégâts qu’il aurait occasionnés en le faisant, des sous-marins indécelables (USA, G-B, France) chargés d’ogives nucléaires, des facteurs en dernier ressort, (c’est ça la dissuasion : si tu commences, t’en prends plein la gu•••• !) les délivreront aussitôt.


:oops:

MàJ. (Message déplacé car Ége avait publié entre mon premier clic et mon dernier.)

Claude, je vois plus haut que tu te renseignes dans toute sorte de média. Est-ce qu'il t'arrive de regarder RT, c'est-à-dire Russia Today, l'antenne française ? C'est parfois intéressant d'entendre le point de vue de l'autre. Sans d'ailleurs perdre son esprit critique.
Mais faudrait te presser, parce qu'on va peut-être lui couper le sifflet, c'est ce que nous avons entendu Ursula van der Leyen dire hier.
Qu'en penses-tu ?

N'allez pas croire que je ne condamne pas l'attaque de Poutin sur l'Ukraine. Comme toutes les attaques, celle-ci est dégueulasse. A mon avis, la guerre, rien de pire. Et l'attaquant a toujours tort.

Sur RT, nous l'avons entendu dire à ses généraux de tenir prêt le dispositif de dissuasion au milieu d'une phrase qui désignait aussi le reste de l'armée, car il n'a pas encore engagé toutes ses troupes. Donc, c'est une menace, pas une décision prise. Or, dans les médias français, il est question d'ores et déjà d'appuyer sur le bouton. Je crois qu'il est fou, mais pas con.

Marie May a tout à fait raison, il m'arrive même de lire "le figaro", si, si!

et nous on devrait aussi avoir le réflexe de chercher les éléments de propagande dans les nouvelles de NOS médias!

un exemple d'il y a quelques jours, G +2 ou 3 (2° ou 3° jour de la guerre qui nous occupe), sur inter à une heure des "grandes" infos: en substance ça disait que les ukrainiens avaient repoussé telle attaque, détruit tant d'hélicos et avions, que telle ou telle ville avait résisté et, que D’APRÈS LEURS DÉCLARATIONS, les russes avaient repoussé..., détruit ...

des affirmations d'une part, des suppositions de l'autre!
ce n'est pas grand chose, il n'y a pas de mensonge, mais on installe un doute, unilatéralement!

à celles et ceux que ça intéresse, je conseille la lecture des ouvrages de deux de mes profs, Jean Noel Karpferer et Michel Louis Rouquette, sur les rumeurs, particulièrement en temps de guerre

Toute guerre militaire s’accompagne forcément d’une guerre de propagande qu’on le veuille ou non, et où qu’on soit.

Seuls les historiens dans qq dizaines d’années redresseront plus ou moins les mensonges ou le brouillard dans lequel nous sommes plongés.

Ce que tu racontes sur les propos entendus sur France Inter me paraît pertinent. Les éléments transmis par des journalistes généralistes contiennent souvent des biais. Et encore plus quand on est au milieu de la mêlée.

……… Sur RT, nous l'avons entendu dire à ses généraux de tenir prêt le dispositif de dissuasion au milieu d'une phrase qui désignait aussi le reste de l'armée, car il n'a pas encore engagé toutes ses troupes. Donc, c'est une menace, pas une décision prise. Or, dans les médias français, il est question d'ores et déjà d'appuyer sur le bouton. Je crois qu'il est fou, mais pas con.

Évidemment MM, il ne s’agit que d’une « menace » et donc de faire peur. Ce qui a bien fonctionné. Menacer avec l’arme nucléaire, ce serait anodin. Non ?

Je ne peux pas connaitre « les dizaines de médias français « Même avec plus de temps, je ne pourrais suivre que les rares médias que j’ai choisis. Que beaucoup de médias rapportent cette menace —même si pas nouvelle— me parait normal, et qu’ils essaient de prévoir et de comprendre ce que cela implique est utile. Tout comme ils ont raison d’appeler des spécialistes de la chose nucléaire pour expliquer ce qu’est la dissuasion.

Je ne peux que parler de « médias que j’ai suivis », mais que je n’écoute pas toute la journée. Aucun des bulletins suivis ne disait que la décision était prise (j’imagine que le fou qui le ferait ne le dirait qu’après). Je ne comprends donc pas ta remarque.

Je n’écoute pas RT —tout comme je fuis C.news ou BFM— avec son image de propagandiste institutionnel comme l’était l’ORTF d’antan c’est-à-dire « aux ordres » d’un gouvernement. Pour sûr j'aurais dû l’écouter de temps à autre.

RT n'a rien à voir avec Cnews. Tu fuis donc une image que tu t'es faite toi-même. Et les médias que tu suis sont tous du même bord, me semble-t-il.

Hum ! Chacun se fait des images dans sa tête. Personne n’y échappe.
L’image que je me fais de BFM. est celle d’un média du libéralisme économique,
et C. News celle d’un média qui refuse la diversité des opinions au bénéfice de la droite et de la droite au carré.


Je m’étonne que l’on ait pu critiquer l’ancienne ORTF qui était aux ordres du gouvernement français
et refuser aujourd’hui de voir que c’est le pouvoir russe qui finance —et pas que—
des médias depuis 2014 (me semble-t-il). Et donc un projet de propagande directe.
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Tu as déjà regardé RT ?