ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Attendez, ce n'est pas parce que l'avocat demande tout ça qu'il va l'obtenir. C'est au juge de décider. Et avant de passer devant le juge, croyez-moi, l'affaire peut s'enliser plusieurs fois et l'eau de couler sous les ponts.
A propos d'eau qui coule, Plumee, ces deux affaires ne sont pas comparables. Mon emmerdeur à moi avait fait tomber deux plafonds et il avait noyé trois étages. C'est nous, syndicat de copropriétaires, qui avons exigé que son assurance nous dédommage correctement et qu'il refasse sa salle d'eau.
La plainte a été déposée en 2014. Et nous l'avons gagné en 2018. 4 ans pour une affaire claire comme le jour.
Mais il n'a toujours pas refait sa salle d'eau aux normes.
Ces deux dernières années ont passé à le pousser à faire ses travaux.
Il est actuellement sous la menace d'une saisie et nous doit 34 000 € d'astreinte.
Mais nous ne sommes pas encore près de toucher cette somme. Patience, patience et patience...
Alors vous voyez, les braves gens dont il est question qui ont mal construit leur petite serre, ne sont pas encore près de payer de pareille somme car ils sont loin d'avoir des responsabilités aussi graves que celle de notre champion de l'embrouille du 3è.

je sens que je vais demander une loi qui interdit les voisins!
mö non, je plaisante!

Plumix, fais gaffe! :lol:

(c'est mon voisin)

une anecdote toute fraîche!

Plumee & Plumix m'ont appelé hier en me demandant si j'avais envie de raisins, des Isabelle et des dattiers de st vallier.
grâce à eux et aux plants qu'ils m'ont donnés, j'en ai moi même mais je me suis dit que je pourrai en prendre pour les pensionnaires de l'assoc de logement d'urgence ou je suis bénévole, donc ce matin aller retour vers leurs jardins, bisoux virtuels sauf pour le toutou qui, délaissé comme toujours quémandait des caresses, papotages et remplissage du coffre, raisins, tomates, concombres, rocotillos énormes, la voiture en totale surcharge.....

j'arrive au foyer de l'assoc, dans la cours un monsieur solitaire avec qui en plus d'une année j'ai quand même échangé au moins cinquante mots, le saluant quand il jouait aux cartes (patience) ou consultait internet.
je commence à décharger, il regarde les raisins, surtout les isabelles, me fait un signe de la main, pouce en l'air: "raisins très bons!"
l’éducateur arrive et se joint à nous, je demande au monsieur: "vous connaissez?"
il me fait "oui" de la tête!
je lui demande: de quel pays venez vous?", Jo, l'éduc me dit "de Géorgie"

je lui demande comment il appelle ces raisins chez lui et, Plumee connaît la réponse par son ami géorgien, il me dit "Odessa" avec un grand sourire!!

On en avait juste parlé avec Plumee!!
du coup, je lui file un rocotillo dans la main, grand sourire derechef et re-pouce en l'air!

quand je suis reparti du foyer, en passant devant lui et le saluant, il me dit un claironnant "merci"

c'est pas beau ça?

Comme quoi, la communication, hein?

Entendu que pendant le confinement à Nantes les jardiniers municipaux privés de plants de fleurs avaient fait pousser des légumes dans les jardins publics pour ceux qui étaient à la peine. Journal télévisé d’Arte. 19:45

De temps en temps, la belle-mère de ma fille et moi, comme on s'aime bien, on s'appelle.
Aujourd'hui la conversation est tombée sur notre petit-fils et ses réparties, notamment à l'âge de 4ans
au sujet de la mort.

Elle me raconte alors ceci:

Une petite fille de la famille pose la question classique:
"Quand les gens sont morts, on en fait quoi?".
C'est une famille croyante (mais pas du tout étriquée), qui a à cœur de répondre aux questions
des enfants par la vérité.
Donc, la grand-mère y va de ses explications:

"Ben, les animaux, quand ils sont morts, soit on les enterre, soit on les mange.
Et les gens, on les enterre " (ils ont zappé l'incinération).
Le petit regarde alors l'arrière grand-mère, très vieille, toute ratatinée et ridée et dit,
très sérieusement interrogatif:
"Et elle? Quand elle sera morte, on l'enterre ou on la mange?".

Faut pas lui couper l'appétit à ce petit. Voyons !

Ma fille, alors qu'elle avait 4 ou 5 ans, m'a demandé si ,lorsque je serai morte, elle pourrait avoir mes soutien-gorge. J'ai répondu oui.

Quand l’idée d 'héritage se forme dans la tête d’une gamine. :lol: :lol:

.

Est-ce que vous avez eu l’occasion d’en rire depuis, toi et ta fille ?

Sinon tu pourrais maintenant emballer un de tes soutes avec du papier cadeau, le lui offrir et voir sa tête ……

Sinon tu pourrais maintenant emballer un de tes soutes avec du papier cadeau,
le lui offrir et voir sa tête ……

Avance sur héritage. :lol:

J'ai cru comprendre, en surprenant des bribes de conversations féminines, que le soute n'était plus en odeur de seinteté chez ces dames...
Alors en faire un legs à sa fille? :roll:

D'ici à ce que je meure, ça sera revenu à la mode. (on part du principe que je vais encore vivre quelques années

Sinon tu pourrais maintenant emballer un de tes soutes avec du papier cadeau,
le lui offrir et voir sa tête ……

Elle se fendrait la pêche grave, vu nos dimensions parfaitement éloignées!

Quand j'étais enfant et ado, j'habitais un gros bourg du Dauphiné, à la limite Isère/Savoie, qui était connu
pour être une ville d'eau ("Salut des voies respiratoires", comme c'était écrit sur les panneaux d'entrée)
ses hauts-fourneaux et sa petite station de ski.
Ma mère travaillait chez une pharmacienne dont le fils, Georges Salamand, est devenu historien.
En plus de produire plusieurs livres sur notre village notamment, il faisait des chroniques dans le journal
"Les affiches de Grenoble et du Dauphiné".
Dans le recueil intitulé "Les Dauphinois d'autrefois", je trouve ceci:

"L'humour d'Hector"
(Berlioz, qui était dauphinois et écrivait "Les grotesques de la musique").
"une suite de portraits et d'eaux fortes à la Daumier, d'un humour percutant et d'une vacherie sans égale",
dit l'historien.

Deux exemples:

"Quand les choristes me disent: Cher Maître… j'ai envie de répondre "Chers esclaves".

Les cibles de Berlioz étaient les orchestres médiocres et les critiques musicaux bouffis d'orgueil.
Ereinté par ces derniers et gagné par le découragement, le bouillant Hector envisage un jour de mettre
un océan entre eux, en s'exilant comme maître de chapelle chez la reine des Hovas, à Tananarive.
"Vous m'objecterez que la reine peut me trouver un peu trop blanc à sa convenance…
Mais je suis tranquille. Les critiques m'ont tellement noirci depuis des années que je garde toutes mes chances d'avoir le poste".

Un peu de musique à l’opéra de Barcelone
.

https://www.franceculture.fr/emissions/ ... -juin-2020

j'ai vu un reportage là dessus, ça dû être terrible quand toute l'assistance s'est levée (pour un "stand up") et a applaudi à tout rompre!

Arte a aussi diffusé la nouvelle dans les infos.

Comment utiliser une huitaine de pruneaux desséchés en traînance dans leur boîte?
Par un far breton, pardi! Ou genre.

Bien que sachant de quoi il en retourne, après avoir mis tremper mes bestiaux hier soir,
je trouve une recette sur Marmiton.
Qui conseille, après avoir beurré et fariné le moule, de le mettre à chauffer, avant d'y couler la pâte. Et de bien battre celle-ci pour la rendre mousseuse.
Application.
Je sors mon vieux coucou de batteur électrique (60ans d'âge): une machine allongée avec des pales rondes pour les blancs d'œufs et vas-y ma Plume.
Déjà ça sent bizarre dans le four: je sors mon moule que j'avais "beurré" à la margarine de coco. Je trouve la farine bien colorée, trop colorée. Je l'enlève, mon moule étant inaccrochable, et le remet au four.
Puis je rebats ma pâte. Là, sans faire attention, j'accroche le bord de ma jatte avec le moteur du batteur. Les pales se retournent et giclent de la pâte tout alentour.
Je peste. Je remets en place. Les pales se re-retournent.
Le coin est constellé de chez constellé, y compris mon pull et en partie mes pantoufles et mon museau.
Je finis par enfourner mais comme je suis dégoûtée et fatiguée (ce matin, j'étais acupunctée pour mon genou et je suis à plat…juste le bon jour pour entreprendre de la nouveauté… :mrgreen: )…
ben… je file promener le chien pendant que le far cuit.
Ça a permis aux nombreuses éclaboussures et dégueulasseries de bien sécher.
:roll: :roll: :roll:

Résultat? Le far qui était annoncé mœlleux, est plat comme une limande, plutôt sécoss.
Mais finalement, comme dit Copinette, il se révèle comestible. :lol:
Enfin, j'eggzagère: il n'est pas mauvais.

Cerise sur le gâteau: Plumix prend pitié de la Plume et arrive de chez lui avec un produit
nettoyant miracle et me nettoie mon chantier pendant que je fais la vaisselle.
Comme disait un copain "J'ai toujours su qu'à plusieurs on était plus intelligent". :D

J'avoue que, dans l'histoire, j'ai eu un sacré coup de mou.
Ça va mieux, merci.

plumee a écrit : ↑

27 janv. 2021, 18:17

ben… je file promener le chien pendant que le far cuit.

c'est mieux que de promener le far et faire cuire le chien!

:lol: :lol: :lol:

avec Jigé, on s'en est rappelé ce midi:
mes parents, dans les années 70 avaient invité mes cousins occitans pour quelques semaines en allemagne ou ils habitaient.

habitués qu'ils avaient été à leur fils unique (ma pomme), ils ont été quelque peu surpris par l'arrivée de trois lascarEs ados.
au petit dej, à côté du reste, un paquet de pain de mie.
La cousinade se jette dessus et l'un d'eux se met à déguster la première tranche.
ma mère: "mais non, il faut la garder pour la reposer sur le paquet entamé, pour pas que la première tranche ne sèche"
mon cousin: "pourquoi? tu penses qu'il va rester une tranche!"

Étonnante (pour moi) pratique que cette première tranche-couvercle !
C’est une coutume propre à quelle région ?

À Lyon aussi cette coutume sévit vu le comportement de mon mari avec cette première tranche.

Nous aussi on fait ça :?