ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

roux de chez roux, un vrai B.B.R. comme on dit dans le bâtiment et qu'on veut recruter un autochtone!

Comment étaient ses oreilles, à ton écureuil ? avec un petit toupet poilu qui les fait voir plus longues ? ou courtes ? Il était roux de chez roux ou tirant sur le gris ? Le second tend à remplacer le premier. Le premier est bien de chez nous, le second est américain et bouffe le premier. D'où leur disparition. Enfin, je ne sais pas s'ils les bouffent mais ils les chassent en tout cas.

Mince alors! Je ne saurais pas dire si celui que nous avions vu était rouroux ou plutôt rouxgris!
Je pencherais presque pour rouxgris…

les gris sentent meilleur car les r... pêtent!

('j'ai honte!)

On peut pas parler sérieusement avec M. Ege...

D’autant qu’il ne s’agit pas de roux mais de rousses. Ne confondons pas. Les roux n’y sont pour rien. Rien de malséant à se reprocher. La phonétique est imparable. C’est la preuve ultime : Rouspéter ≠ roupéter !

Si l’on tient à perdre son temps, en y réfléchissant, le seul reproche au demeurant qu’auraient pu mériter leurs parents en jouant à la loterie des gènes et dans une partie de bête à deux dos, c’est d’avoir muni leurs petits mâles de roupettes !
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PS Ma remarque contient des allusions tout à fait volontaires aux paroles du maître Georges B. :idea: Amen.

les gris sentent meilleur car les r... pêtent!

:lol:

tu oublies les concierges: les r... bignoles!

Mon petit-fils de 10ans:

"Que voulez-vous?… les valeurs se perdent".

:lol:

:lol: :lol: :lol:

Trop jolie scène.

Je rentre de promenade avec le chien et Doudou Chat Roux.
A 20m de la maison, le chat stoppe et regarde en l'air dans un jeune frêne.
Je ne vois rien.
Il semble fasciné . C'est alors que j'aperçois, sur une mince branche une jeune couleuvre.
Enfin, jeune par la minceur, parce qu'elle faisait bien son mètre de long.
Mon chat grimpe sur le tronc puis essaie d'approcher la couleuvre qui est au bout d'une très mince branche
et qui, du coup, en profite pour s'y enrouler serré.

Il voit que c'est impossible. Il essaie donc, les unes après les autres, les branchottes avoisinantes,
grosses comme mon pouce. C'était assez rigolo de voir le balancement!
Pas de succès.
Pendant ce temps, la couleuvre, impassible lui fait face.
J'espérais de tout mon cœur qu'il n'arriverait à rien.
Ce que j'ai trouvé très drôle, c'est que la couleuvre, bien arrimée par enroulement autour de sa branche,
le regardait balancer avec beaucoup d'attention.
J'ai eu l'impression qu'elle était persuadée qu'il n'arriverait à rien et qu'elle attendait patiemment qu'il se lasse!

Je pense avoir reconnu une couleuvre d'Esculape, la même que celle trouvée entre des bottes de foin par mon beau-fils,
en plein hiver.
Connue pour son aptitude à grimper haut sur les arbres.

Espèce pacifique protégée
https://fr.wikipedia.org/wiki/Couleuvre_d%27Esculape

Vers midi, je ramène péniblement un fagot de tiges de saule secateurisées au bord de l’eau, je dépose mon chargement au ras d’une allée piétonnière quand un chien du genre de ceux qui possèdent une mâchoire–étau passe devant moi. Il était en train de promener la jeune femme qui croit être sa maîtresse.

Très amical, il vient me renifler, et je le reçois d’une caresse entre les deux oreilles. On sympathise, alors la maîtresse aussi s?en mêle. On échange des banalités. Le mastard s’appelle Rosso. Oh ! Ça veut dire rouge en italien, ça tombe bien, mon chat s’appelle Gatto car il est né en Italie. Ah ! Mais non, le gentil clebs, lui n’a pas franchi la frontière, sa langue maternelle est le français, et elle est sûre, il vient de Cannes, pas d’ailleurs.

Sur ce, serviable, elle me demande si j’ai besoin d'un coup de main pour porter mon lourd chargement. Je la remercie. « Ce n’est pas la peine. J’y arriverai. Et merci beaucoup. »
Elle me quitte alors juste après avoir dit. « Au revoir, mon petit monsieur ».
Il est vrai que cette jeunesse était forte et grande, plus grande d’une tête que moi, et elle respirait la santé mais bénéficier d’un « petit monsieur » ça m’a fait une drôle d’impression.

Qu?en dites-vous ?

Il est vrai que cette jeunesse était forte et grande, plus grande d’une tête que moi, et elle respirait la santé mais bénéficier d’un « petit monsieur » ça m’a fait une drôle d’impression.

:lol: Il y a là matière à réflexion!!!

Le même jour, une heure plus tard nous nous trouvions dans cap 3000, hyper truc commercial, pour que l’appareil photo intégré dans mon portable soit réparé. Ce qui fut vite fait par simple remplacement du module fautif. Et gratis. :idea: Fin des images floues. :D

Nous avions faim et nos rares sorties sont l’occasion de manger dehors. Nous sommes tombés dans un lieu de restauration inhabituel (enseigne monop’i) voire même ahurissant. Ça pourrait ressembler à un flun’che mais en bien plus grand. Il rassemblait une dizaine de très grands stands de traiteurs divers offrant toutes sortes de plats ou de victuailles (mis bout à bout, cela aurait offert au consommateur un linéaire de 100 mètres). Étions-nous tombés dans un espace expérimental ? Moi qui me décide en qq secondes pour exprimer mon choix devant un menu de plusieurs pages, j’étais incapable de choisir ! Le lieu était vaste, dix minutes plus tard, madame et moi nous étions perdus de vue.

Ayant enfin choisi, mon choix en main, je suis parti à la recherche de ma compagne. Je l’aperçois alors en’p,dine conversation avec une dame de notre âge. Je m’approche, ma femme me présente comme son mari, et voilà que la dame en question déclare qu’elle même est sans mari et qu'elle en cherche un. Elle s’exprime avec un tel regard d’appropriation porté sur le petit monsieur que je suis que j’en reste baba. Visiblement l’on me fait du rentre dedans. Le sens des réparties me fuit. Je finis par dire qu’il ne me reste plus qu’à me couper en deux, je fais le geste de haut en bas, et j’arrive à lui demander si elle préfère le côté droit ou le côté gauche :oops: :oops: Toutes deux éclatent de rire : « Vous avez vu comme il a rougi ! »

:oops: :oops: :oops:

et depuis, tu as réussi à te recoller?

Hier, 19h. Je descends chercher ma voiture qui était allée se faire contrôler techniquement.
Bref, sur ma petite route tortueuse, à la sortie d'un nème virage, je me trouve face à face avec la fourgonnette d'un jeune voisin qui remontait plutôt vite.
Moi, j'allais doucement, non seulement parce que ce n'était pas ma voiture: une Punto balourde à côté de ma tite Panda légère et court vêtue,
qui surprend tous ceux qui l'ont conduite pour sa légèreté et sa maniabilité.
Mais aussi parce que la route avait été réparée, bien goudronnée et gravillonnée. Ça pouvait glisser grave avec la pente.
Au lieu de me laisser me garer à ma droite dans un espace prévu pour ça, il me coupe la route et s'y gare.
Surprise, je m'étais poussée à gauche.
Et hop! deux roues dans l'accotement qui venait d'être refait et non stabilisé. Plantée.
La fourgonnette n'a rien vu et est repartie aussi sec.
Heureusement, passe la fille de nos voisins qui s'arrête et s'inquiète grave: 10cm de plus et je basculais dans la pente.
Elle m'incite à sortir par la portière du passager.
J'appelle mon beau-fils qui descend aussi sec. Au moment où il s'arrête pour juger de la situation, arrive d'en bas une voiture.
Bien sûr, tout ça en très peu de temps, donc, très provisoirement, on bouchait le passage (pas moi!!!!).
Sort une nana fort contrariée qui nous dit: "J'ai du frais, là-dedans" :lol:
On l'assure que dans pas le temps de le dire, on va lui libérer le passage.
Et elle ajoute: "J'ai des enfants en bas âge". Sauf que, quand on voit passer sa voiture, il y avait devant un ado et derrière deux enfants
d'âge classe élémentaire. :roll: :roll: :roll:
Elle ne s'est pas demandé s'il y avait un problème, n'a pas vu que ma voiture était en mauvaise position, que mes cheveux et ma stature indiquaient un certain âge.
Sans doute une maman stressée, sortant du boulot, avec la charge mentale de ses trois enfants.
Si ça se trouve en plus, maman célibataire, allez savoir.
Oui, je sais, comme toi, Claude, j'ai tendance à trouver plein d'excuses, même à ceux qui m'agressent!

;)

C'est le problème sur les petites routes où l'on doit se croiser en voiture. Ordinairement, on ralentit et chacun amorce un passage dans sur le talus. Mais quelquefois, des énergumènes se croient tout seuls et passent, vaille que vaille. Avec l'habitude, je sens comment va se comporter le mec (rarement une femme) et en ralentissant, je reste au milieu de la route en zigzagant ostensiblement et là il ralentit....Je reconnais que c'est risqué, parfois...

à ta nana plumee, j'y aurai dit: "ben si vous êtes pressée, donnez nous donc un coup de main, ça ira plus vite"!

……
Sort une nana fort contrariée qui nous dit: "J'ai du frais, là-dedans" :lol:
On l'assure que dans pas le temps de le dire, on va lui libérer le passage.
Et elle ajoute: "J'ai des enfants en bas âge". Sauf que, quand on voit passer sa voiture, il y avait devant un ado et derrière deux enfants
d'âge classe élémentaire. :roll: :roll: :roll:
……

Tu ne comprends pas ? Tu as croisé le chemin de la célèbre Ogresse Ardéchoise.
Elle transportait de la nourriture fraîche. Elle te l’a dit : «  J'ai du frais, là-dedans ! »
Elle transportait trois garçons pour nourrir ses petites filles, des ogresses « en bas âge ».

Tu aurais pu leur sauver la vie et les aider à s’enfuir.

Tu ne comprends pas ? Tu as croisé le chemin de la célèbre Ogresse Ardéchoise.
Elle transportait de la nourriture fraîche. Elle te l’a dit : « J'ai du frais, là-dedans ! »
Elle transportait trois garçons pour nourrir ses petites filles, des ogresses « en bas âge ».

Tu aurais pu leur sauver la vie et les aider à s’enfuir.

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Hélas! Moi, toujours bonne fille naïve qui ne voit pas plus loin que si elle n'avait pas d'yeux…

Donc, des rats me narguent, mangent les appâts des pièges sans les faire sauter et continuent de gratter dans les croquettes des chats.
Hier, j'en surprends un. Il file à tout allure et grimpe vers le trou en haut du mur de mon garage,
Au moment où seule la queue reste dépassante, je lance:
" Tu es culotté!".
Et là, mon rat se retourne et me regarde! :lol:

Si la queue reste dépassante, c"est tout le contraire : il est mal culotté.

:lol:

ah, tout d'un coup, je comprends mieux la canson du père brassens, celle ou il parle "des passantes"!

ah oui, les passantes....superbe, la chanson, les passantes aussi !