ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Derrière la dette COVID que l'on veut nous faire payer -il faut faire des efforts les amis, comprenez que la France en a besoin- que dire des milliardaires français qui ont engrangé 175 mds € entre mars et décembre 2020 ? Comment expliquer à ceux qui peinent à boucler le mois (qui sonne bien avant le terme) qu'il faut faire des efforts ? aucune pudeur !!! la cure d'austérité n'a pas de limite....

Vive l'union de la gauche !!!

faut les co-vider!

oui, mais la casserole a des trous !

J’ai compris que la contamination était favorisée par la proximité physique, sa durée et l’absence de masque. Premier point.

Et de quel consensus parles-tu ?
Depuis le début de la pandémie, le masque a été discuté dans tous les sens. Aujourd'hui, en France, il faut en porter un. Dedans comme dehors. Or dedans, c'est logique. Dehors, non. Et la preuve c'est que certains pays comme l'Allemagne ni l'impose pas.
Alors consensus entre qui et qui ?

MM, tu reviens sur notre échange du 29 et 30 mars. (Donc, faudrait que je relise = Pas ce soir !!) :x

;)

Sur ce que tu dis du port du masque en Allemagne, je ne suis pas au courant. Je sais que le pouvoir central allemand n’a pas la main sur les mesures sanitaires qui restent donc locales, et qu’il existe des différences entre chacune des régions. L’existence de divergences entre les Lands, il me semble, est devenu un problème, c’est un sujet de débat en Allemagne. Je n’ai pas suivi.

On avait dit beaucoup de bien du savoir-faire allemand peu touché par la pandémie quand, il y a presque un an, d’autres pays comme la France, l’Italie accumulaient les victimes …… on aurait dû mettre cela sur le compte du hasard viral, d’une distribution inégale de la contagion selon les régions. C'était un heureux hasard donc et ce n’était pas l’effet d’ une meilleure compétence au vu de la situation actuelle et d’un confinement très long.

;)

Cette maladie, on ne la connaissait pas, de plus elle semble réserver encore des surprises. Je crois qu’il faut apprécier l’humilité et la prudence. Chaque État tâtonne. Un porte parole des marinistes dénonçait ce « tâtonnement » comme si c'était mal de tâtonner.

Quand on tâtonne, on fait des essais et a priori, on enregistre forcément des erreurs. C’est là où il convient que chacun dans un ensemble se réfère aux mêmes précautions, suivent les mêmes préconisations. Dans le cas contraire, si chacun n’en fait qu’à sa fantaisie, il devient impossible de tirer des leçons des essais tentés.

En Allemagne, le port du masque n'était obligatoire nulle part à l'extérieur. On estime que le masque n'a de raison d'être qu'à l'intérieur, dans les boutiques et les lieux clos en général.
Par ailleurs, le système hospitalier de l'Allemagne est autrement géré et beaucoup plus performant. Ça aussi a dû jouer dans le développement de la maladie.

Je ne m'attends pas à ce que le pouvoir puisse tout, ne m'associe pas aux marinistes, je te prie, Claude. Je dis seulement que le pouvoir favorise certains aspects au dépend d'autres selon ses propres critères politiques. Et pour une fois, je vais me citer moi-même :

on peut parfaitement voir dans ces éléments de complexité, non pas des compromis impératifs, mais des choix très dirigés par une volonté ferme de défendre l'économie des grands, des gros, des importants, au détriment des petits, des obscures, des soit-disant élites cultureuses.

C'est très juste,
ça donne envie d'aller plus loin.

.


Que les grands, les plus gros, les plus fortunées soient favorisées, c’est évident depuis toujours, depuis les temps antiques, et c?est évident dans nos sociétés. Que ce principe malsain se manifeste aujourd’hui, ici et ailleurs, avec constance, OK. Qu’il se glisse partout, dans nos vies autant économiques que familiales et de loisir, OK.

MAIS attention, interpréter toute idée, initiative, action politique avec comme seul prisme la poursuite de cet objectif est une erreur. C"est une réduction, un rétrécissement ou de simplification abusive. Un compromis par définition agrège des objectifs divers.

Mais j’ai cru noter que tu rejettes également l’idée de compromis. J’ai bien compris ?

Voiture sabotée d.une journaliste bretonne, la presse face à face avec l’agro-business.
in Le Canard.


Cliquer :

Ma grosse grogne, c'est le documentaire hier soir à la télé sur le Professeur Raoult, sur France 4, qui était manifestement, depuis le début
un documentaire uniquement à charge.
J'attendais (comme je l'attends depuis qu'on parle de lui et de SA chloroquine) une étude documentée sérieuse qui ne soit pas partisane.
J'avais très probablement mal lu la présentation…🤔
J'ai rapidement abandonné.

Que les grands, les plus gros, les plus fortunées soient favorisées, c’est évident depuis toujours, depuis les temps antiques, et c?est évident dans nos sociétés. Que ce principe malsain se manifeste aujourd’hui, ici et ailleurs, avec constance, OK. Qu’il se glisse partout, dans nos vies autant économiques que familiales et de loisir, OK.

Je ne crois pas que c'est depuis toujours. Il y a eu pire...en tout cas il y a eu mieux. Et aujourd'hui il y a de moins en moins bien.

MAIS attention, interpréter toute idée, initiative, action politique avec comme seul prisme la poursuite de cet objectif est une erreur. C"est une réduction, un rétrécissement ou de simplification abusive. Un compromis par définition agrège des objectifs divers.

Quels autres objectifs ? le dire c'est déjà interpréter, analyser des causes.

Marc, voir le monde en noir et blanc, c’est en revenir à un combat entre le mal et le bien, les bons contre les méchants. J’ai connu cela plus jeune, et je me trompais. Le monde est plein de gris, plein des niveaux de gris. en fin de compte, notre vie est courte. Je suis absolument certain que nous ne gagnerons pas le paradis. Aucun paradis n’existe. Ni celui des religions du Livre, ni celui de la société idéale.

Si je pouvais donner un conseil, je dirais qu’on a trop souvent le nez dans le guidon.

claude, ne regardes pas trop le guidon, tu vas louper de voir ce que voit le cycliste accompagné dans un des sujets (loi sur la fin de vie)

.
Extinction de masse ?
Point de vue de Coco, in Libé.

Claude a écrit : ↑

21 avr. 2021, 17:30

Marc, voir le monde en noir et blanc, c’est en revenir à un combat entre le mal et le bien, les bons contre les méchants. J’ai connu cela plus jeune, et je me trompais. Le monde est plein de gris, plein des niveaux de gris. en fin de compte, notre vie est courte. Je suis absolument certain que nous ne gagnerons pas le paradis. Aucun paradis n’existe. Ni celui des religions du Livre, ni celui de la société idéale.

Si je pouvais donner un conseil, je dirais qu’on a trop souvent le nez dans le guidon.

Je sais bien que le monde n'est pas en noir et blanc ! ne m’enferme pas dans ces conceptions.
Le gris est fait de noir et de blanc et le choix des tonalités oriente, traduit une signification. Tout résumer à un "paradis" ou une société "idéale" est brutal, nous n'avançons pas aussi vite que ça. Tu as raison de dire que la vie est courte, mais l'histoire (humaine) de la vie est longue. Je parle à cette échelle, observer l'histoire décrit bien un sens, même depuis l'aube de l'humanité. Elle avance vers le mieux, malgré des apparences (avec ses revers) toujours contradictoires, c'est le mouvement réel qui va vers, qui en résulte, à l'instant où on le regarde. C'est ça qui compte.
Pour comprendre, j'ai toujours besoin de jalonner cette histoire, d'examiner ce qu'elle exprime à travers les faits (certes rapportés) sur le long terme. Ce sont des choix que je fais.

Je reprends la citation de Marie-May (si elle le veut bien !) à mon compte, c'est une très bonne synthèse qui pose d'emblée les données du problème.
Elle inscrit le mouvement dans lequel l'histoire se déroule et des contradictions qu'elle exprime. En effet, tout compromis (qui n'est pas un consensus) est le résultat produit par deux (ou plus) mouvements qui s'opposent (la contradiction).... :

on peut parfaitement voir dans ces éléments de complexité, non pas des compromis impératifs, mais des choix très dirigés par une volonté ferme de défendre l'économie des grands, des gros, des importants, au détriment des petits, des obscures, des soit-disant élites cultureuses.

Si le mouvement de l'histoire produit nombre de changements quantitatifs, d'autres annonces des changements qualitatifs. Et nous entrons dans cette période, trouble. Nul ne peut prédire quels changements.
Je pense que la pandémie, le dérèglement climatique, la crise financière, économique et sociale font partie de l'enjeu.

on peut parfaitement voir dans ces éléments de complexité, non pas des compromis impératifs, mais des choix très dirigés par une volonté ferme de défendre l'économie des grands, des gros, des importants, au détriment des petits, des obscures, des soit-disant élites cultureuses.

.
Oui on peut, et cela révèle souvent ce privilège « des puissants » mais ce n’est pas TOUJOURS le cas. Il y a des exceptions voire 50 nuances
De gris.

Les leaders de gauche (comme ceux des autres bords le font pour d’autres raisons) ont tendance à enfourcher cette monture-là, à dévoiler le ressort caché en faveur de la puissance même quand ce n’est pas le cas (ou pas si simple) comme s’ils avaient peur qu’on oublie qu’ils sont dans l’opposition. « Un opposant ça s’oppose » disait un Président. Je ne parle ici que de la situation française. Cela produit un malaise dans les rangs des citoyens qui écoutent mais n’ont pas un réflexe d’appartenance à la gauche et les éloigne, les pousse à terme vers le centre. Vous créez un écartèlement dommageable pour l’intérêt du vote de gauche en manifestant autant de violence verbale. Prétendre que tout ce que fait ce pouvoir est nul ne regroupera autour de vous qu’une minorité rugueuse et suiviste, tous derrière un leader maximo.

J’aime bien la différence que tu fais entre compromis et consensus mais dans notre société quand le consensus n’existe pas il faut soit entrer en négociation en acceptant d’emblée que le résultat sera à moitié décevant et à moitié satisfaisant. .... soit on ne négocie pas, ben, faut forcer l’adversaire !?

Claude a écrit : ↑

22 avr. 2021, 13:57

Oui on peut, et cela révèle souvent ce privilège « des puissants » mais ce n’est pas TOUJOURS le cas. Il y a des exceptions voire 50 nuances
De gris.

Les leaders de gauche (comme ceux des autres bords le font pour d’autres raisons) ont tendance à enfourcher cette monture-là, à dévoiler le ressort caché en faveur de la puissance même quand ce n’est pas le cas (ou pas si simple) comme s’ils avaient peur qu’on oublie qu’ils sont dans l’opposition. « Un opposant ça s’oppose » disait un Président. Je ne parle ici que de la situation française. Cela produit un malaise dans les rangs des citoyens qui écoutent mais n’ont pas un réflexe d’appartenance à la gauche et les éloigne, les pousse à terme vers le centre. Vous créez un écartèlement dommageable pour l’intérêt du vote de gauche en manifestant autant de violence verbale. Prétendre que tout ce que fait ce pouvoir est nul ne regroupera autour de vous qu’une minorité rugueuse et suiviste, tous derrière un leader maximo.

J’aime bien la différence que tu fais entre compromis et consensus mais dans notre société quand le consensus n’existe pas il faut soit entrer en négociation en acceptant d’emblée que le résultat sera à moitié décevant et à moitié satisfaisant. .... soit on ne négocie pas, ben, faut forcer l’adversaire !?

Tout comme les leaders de droite enfourchent une monture (la même que certains à gauche) et vont dans l'autre sens !
un compromis s'arrête où il n'y a plus d'accord possible au-delà, c'est une forme de consensus (dans ce cas que veut dire un consensus). Il y a des compromis qui peuvent devenir des compromissions et dans ce cas le consensus se transforme. Tout est question de rapport(s) de force(s) en présence.
L'Histoire produit des situations qui ont des impacts importants dans la vie des citoyens; les événements plus rapprochés et de moindre importance -tout au moins en apparence- en ont aussi.
Ce que fait un pouvoir n'est jamais nul. Il va dans le sens où il a décidé d'aller.
Un exemple : la Révolution bourgeoise de 1789 a mis l'aristocratie hors course (tout en sachant que cette dernière a tenté par tous les moyens de reprendre le dessus). De fait, cette révolution est la concrétisation politique de ce qui avait pris racine dans la société. La bourgeoisie, en transformant le fonctionnement économique de la société féodale, tenait les rênes du fonctionnement (depuis longtemps) et, pour se développer, avait besoin de transformer les structures de la société...un certain 14 juillet...

Cela produit un malaise dans les rangs des citoyens qui écoutent mais n’ont pas un réflexe d’appartenance à la gauche et les éloigne, les pousse à terme vers le centre. Vous créez un écartèlement dommageable pour l’intérêt du vote de gauche en manifestant autant de violence verbale

Là il faut s’appesantir sur cette affirmation. Si la gauche ne tient pas un discours de gauche, elle n'est pas ou plus à gauche. Le malaise à mon sens commence là. Exemple, Hollande a fait un pas fondamental, que n'avait pas franchi le PS depuis longtemps, en privilégiant l'offre par rapport à la demande. ça s'est concrétisé par toute les lois votées (loi travail, etc...) et la sanction est tombée en 2017. là, oui, on peut parler d'écartèlement !
La gauche est effectivement à la peine. C'est un autre malaise. le regroupement devra se faire en dehors des partis, ce sera difficile et long. La tradition devra laisser la place à autre chose, qui est en gestation.
Des leaders il y en a toujours eu et il y en aura encore pendant longtemps. à droite comme à gauche.
Je suis d'accord pour dire qu'il ne faut surtout pas leur laisser le pouvoir. Pour le moment il faut se débarrasser de celui qui est dans la place !
Je suis obligé d’abréger, j'ai un RV. J'aimerais bien poursuivre.

https://actu.orange.fr/france/securite- ... AjgMe.html
Pour déléguer la répression au privé, y'a des sous! Pour payer correctement les personnels soignants et assimilés, ben y'ena plus :mrgreen:

tu parles, même les astronautes prennent les transports privés!
il n'y a plus de service public

Entendu un billettiste en parler ce matin et citer un commentaire de l’Huma.

voulais le mettre sur corona 19, mais c'est verrouillé!!!

re re re "attention" aux news des médias!!
hier et ce matin au poste:
"la pandémie est hors contrôle aux indes, 325.000 nouveaux cas hier!"



Inde = 1,4 milliards d'habitants; 1.400 millions = 1.400.000.000

calculez le rapport entre 325.000 et 1.400.000.000


France le 23 04 2021 environ 30.000 cas nouveaux
France = 65.5 millions, = 65.5 millions = 65.000.000

et maintenant, calculez le rapport entre 30.000 et 65.000.000

ça c'était hier, et sur la durée:
France morts = environ 102.000 soit 1,88 depuis le début
Inde morts = environ 16,3 millions soit 1,15 %
et ousque c'est hors de contrôle?

Ége.

A priori, il faut prendre ces valeurs dans leur contexte, leur dynamique. Il me semble —sous réserve : je ne suis pas allé verifier les chiffres— que ces 325 000 nouveaux cas sont dans une escalade alors qu?en France, les valeurs connues sont celle d’un « plateau » et donc sans accélération.

Peut-être enfin que la dramatisation de cette info reflète une autre inquiétude qui est celle de l’arrivée dans le circuit d’un variant inconnu baptisé variant « indien » …… Pour mémoire, chaque nouveau variant a suscité d’abord une inquiétude accrue.
.

:idea:

PS. À l’heure actuelle, il est devenu impossible de suivre tous les médias. Il y a bcp de différences dans ce secteur et de diversité …
Lequel avais-tu suivi ?j

Je suis furieuse. Je ne peux pas continuer à visionner cela

Entretien exclusif avec le Pr Christian Perronne : "Il faut faire avancer la vérité."



car supprimé par youtube, alors que c'était très intéressant.

Où va-t-on? Vers un monde inquiétant au niveau des libertés.

J’ignore le pourquoi de cette suppression et les regles enfreintes par la vìdeo.

;)
.
Sur le Pr C. Perronne :
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article ... 00055.html