nous voulons des coquelicots

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par herran » 10 avr. 2020, 22:14

Les coquelicots de la butte commencent à sortir : 4 aujourd'hui, bientôt le festival
coquelicot.jpg
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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 12 avr. 2020, 15:12

Moi, je viens d'en semer !

Pourquoi maintenant? Parce que c'était écrit sur le paquet, tiens.

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Marie_May » 13 avr. 2020, 15:41

Il me semble que c'est en fin juillet qu'on les sème.

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 13 avr. 2020, 18:28

J'ai été étonnée de ces consignes de semis mais j'ai obéi, pour voir.
Sur un site, il est dit d'avril à juin…

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Claude » 13 avr. 2020, 19:25

Semer quoi ?
Des coquelicots ?

Le mois de semis n’a guère d’importance. Il y a des graines en terre depuis longtemps, et ces fleurs des moissons embellissent les champs de céréales que les cultivateurs le veuillent ou non, et qui se mettent à pousser quand elles veulent se réveiller. Je me souviens avoir lu que la durée de germination de graines de coquelicot est de l’ordre de 50 ans.

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Marie_May » 14 avr. 2020, 11:17

Il y a des graines en terre depuis longtemps
Chez toi et chez moi aussi, mais pas partout. Il y a bel et bien des gens qui en sèment. Comme certains plantent de l'ortie (je me souviens d'Ipomée qui n'en avait pas dans son terrain d'autrefois).

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par herran » 17 avr. 2020, 15:42

la butte aux coquelicots, chaque matin de nouvelles fleurs, chaque soir de nouveaux départs
NB : semis spontané
coquelicots A.jpg
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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 19 avr. 2020, 06:46

Magnifique!
Est-ce que la butte était faite de frais quand ils se sont installés ?

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par herran » 19 avr. 2020, 09:14

ce que j'ai écrit dans mon jardingo
Lors de travaux pour une terrasse, le maçon a décaissé l'emplacement.
Souhaitant avoir du volume dans l'espace, j'ai demandé qu'il dépose en tas la terre prélevée (un mélange d'argile et de sable).
Comme des coquelicots avaient poussé dans cette terre, ils ont fait parti du voyage et n'ont pas manqué de refaire surface et de diffuser la semence.
Ma gestion de la butte : champs libre pour les coquelicots au sommet, et culture contrôlée à la périphérie. L'année dernière petits pois, cette année radis (j'ai mangé les premiers ce soir) et semis divers (salade, choux, oignons) mais pas brillants pour le moment.
En tout cas cette butte me comble

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 27 avr. 2020, 18:18

Fichiers joints
Coquelicots.jpeg
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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 28 avr. 2020, 07:48

Lien entre Covid19 (et tous les virus) avec les pesticides.
Avec un article de Fabrice Nicolino, paru dans le Monde.

https://nousvoulonsdescoquelicots.org/2 ... et-morale/

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Claude » 28 avr. 2020, 11:14

Voici La Tribune publiée par Le Monde à la date du 18 avril :
.

IDÉES
CORONAVIRUS ET PANDÉMIE DE COVID-19

Coronavirus :
« Un moratoire sur les épandages de pesticides
près des habitations
est une nécessité sanitaire et morale »

.

TRIBUNE
Collectif

Le Covid-19 peut voyager sur des microparticules, dont celles de pesticides, affirment, dans une tribune au « Monde », le mouvement NOUS VOULONS DES COQUELICOTS, opposé aux produits phytopharmaceutiques, et son président, Fabrice Nicolino. Une raison supplémentaire, selon eux, de décréter un moratoire sur leur épandage.

Publié le 18 avril 2020 à 05h00 - Mis à jour le 18 avril 2020 à 12h42 Temps de Lecture 5 min.


Tribune. Il y a un mystère des pesticides, et il est bien gardé. Mais ce n’est pas un mystère pour qui sait dépouiller des centaines de textes dispersés aux quatre vents que personne ne trouve intérêt à rassembler. Les pesticides de l’agriculture industrielle jouent-ils un rôle important dans la propagation du coronavirus ? Tristement, mais certainement, la réponse est oui.
Il faut commencer par le commencement. Les particules fines contenues dans l’air que les Français respirent affaiblissent les défenses immunitaires, aggravent la situation des insuffisants respiratoires, des malades cardiaques, et tuent. En France, la pollution de l’air – et au tout premier rang les particules fines – conduit à la mort 48 000 personnes par an, selon l’étude de Santé publique France de 2016.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi A l’instar du coronavirus, « la pollution, chronique, massive et insidieuse est aussi un fléau mondial qui pourrait être jugulé »

Or il apparaît que la terrible pandémie due au coronavirus peut être aggravée, notamment par propagation, au travers de nuages de particules fines. Ces dernières sont souvent connues sous leur acronyme anglais PM10 et PM2,5 – initiales qui signifient « particulate matter » – en fonction de leur diamètre. Les PM10 mesurent 10 micromètres, soit 10 millionièmes de mètre – et les PM2,5 quatre fois moins que les PM10. Plus ces particules sont fines, plus elles sont transportées par le vent et plus longtemps elles restent dans l’atmosphère.

Une étude chinoise de 2003 a montré que la pollution de l’air rendait le SRAS bien plus létal. On doit y ajouter deux travaux récents – une publication italienne et une autre américaine – qui montrent des liens puissants entre la concentration de particules fines dans l’air et la propagation du coronavirus. Ou son aggravation. Par ailleurs, 11 chercheurs américains, dont 4 des fameux Centers for Disease Control and Prevention, ont signé, en mars, un article sur la possible diffusion aérienne du virus. Que contiennent ces particules fines ? Entre autres, la trace des activités humaines : cuisine et chauffage, transports, rejets industriels, mais sans oublier l’agriculture. Autant de véhicules pour le coronavirus.

Dérive et vaporisation

Tous les spécialistes de la question savent que deux phénomènes interviennent, qui se conjuguent. Le premier s’appelle dérive, et le second vaporisation. Dans l’exemple des pesticides, des microgouttelettes, de la taille des particules fines, sont poussées par le vent, loin de leur cible première. Et une partie notable devient une vapeur si légère qu’elle est reprise par les nuages et transportée jusque dans le cœur des villes, ce qu’attestent d’innombrables enquêtes officielles. Dans certains cas extrêmes, plus de 90 % du produit n’atteint pas sa cible. Les scientifiques de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) ont, de leur côté, constaté des pertes de 15 % à 40 % dans les traitements sur la vigne. La moyenne généralement retenue est comprise entre 30 % et 50 %. Qu’en est-il alors des nanoparticules, massivement utilisées par l’industrie des pesticides dans la discrétion la plus totale ? A cette échelle 1 000 fois plus petite que celle des particules fines, plus aucune barrière biologique, pas même celle des cellules, ne demeure intacte.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Noël Mamère : le coronavirus nous fait « vivre une sorte de répétition générale avant l’effondrement majeur d’un modèle qui a trouvé ses limites »

On s’étonnera moins, dans ces conditions, de l’appel publié en ligne de scientifiques menés par la directrice de recherche Inserm Isabella Annesi-Maesano, pour lesquels « le printemps est la période d’épandage agricole, grand pourvoyeur de particules fines. En effet, lors des épandages, le gaz ammoniac (NH3) va, en passant dans l’atmosphère, réagir avec les oxydes d’azote (NOx) pour former des particules de nitrate d’ammonium et de sulfate d’ammonium ». Fort logiquement, ces chercheurs appellent « les préfets à prendre des mesures urgentes visant à limiter drastiquement les émissions liées aux épandages agricoles (restriction, technique d’enfouissement de l’engrais) afin de tout mettre en œuvre pour limiter la propagation du virus ».

Certes, on parle là d’engrais, mais les pesticides jouent très exactement le même rôle, ce que personne pour le moment ne dit. Personne, sauf l’Inrae, une nouvelle fois, qui note explicitement, dans des documents officiels datant de l’été 2019 : « Les activités agricoles sont responsables de 28 % des émissions françaises de particules de diamètre inférieur à 10 micromètres, comme les composés azotés ou les pesticides. » Et le texte ajoute que l’agriculture émet plus de particules fines que l’ensemble des transports, d’un côté, et les activités industrielles, de l’autre.

Les mots de l’Inrae sont décisifs, car ils montrent précisément que les pesticides, tout comme les engrais et les lisiers, sont des particules fines.

Double peine

Toutes ces pratiques agricoles forment des nuées qui se combinent avec d’autres venues des villes pour former de vastes ensembles de pollution de l’air. C’est exactement ce qui s’est passé fin mars en Bretagne, avec un sévère épisode de particules fines circulant de Brest à Saint-Malo.

Dans ces conditions, que fait le gouvernement ? Rien. Pour de nombreuses raisons politiques et historiques, l’agriculture industrielle semble intouchable. Ainsi que son plus illustre représentant, la FNSEA. D’un côté, les discours officiels affirment que la santé publique prime. Et de l’autre, on confine de nombreuses familles avec enfants tout près d’épandages de lisier, d’engrais azotés et de pesticides. Ce qu’on doit appeler une double peine.

Pis. On se souvient comment, début janvier 2020, l’éléphant a accouché d’une souris. A la suite d’arrêtés antipesticides pris par des maires, dont celui de Langouët, Daniel Cueff, nos autorités ont alors imposé des zones de non-traitement (ZNT) de pesticides, dont la plupart s’arrêtaient à cinq mètres des habitations. Une distance qui paraissait une simple plaisanterie, de très mauvais goût.

Lire aussi La fronde s’étend contre les distances d’épandage de pesticides décrétées par le gouvernement

Mais c’était encore trop pour la FNSEA, qui n’a cessé de réclamer un assouplissement du dispositif, et l’a obtenu. Le 30 mars, en effet, le ministère de l’agriculture a accordé une dérogation, faisant passer la ZNT de cinq à trois mètres dans les départements où une « concertation aura été lancée ».

Nous en sommes là. De solides éléments scientifiques nous assurent que les particules fines aggravent la pandémie en cours. L’Inrae, institut public, constate que l’agriculture industrielle produit près de 30 % des particules fines. Et l’on décide de faire un cadeau de plus à la FNSEA.

Cadeau de trop ? M. Macron, qui vient d’en appeler, dans son discours du 13 avril, à la Révolution française et au Conseil national de la résistance, a-t-il bien besoin d’un procès retentissant pour mise en danger de la vie d’autrui ? Responsables en ces temps de drame, nous ne le souhaitons pas. Alors, il faut changer de cap et rappeler, par exemple à Didier Guillaume, ministre de l’agriculture, qu’il n’est pas au service d’un lobby, mais de la société tout entière. Conscients de défendre l’intérêt général et la santé publique, nous demandons l’ouverture d’une enquête indépendante, sous la conduite de l’Inserm et avec contrôle parlementaire. Et dans l’attente de ses résultats, un moratoire sur les épandages de pesticides près des habitations est une nécessité sanitaire et morale.

Fabrice Nicolino est président du mouvement Nous voulons des coquelicots. François de Beaulieu, Mathieu Chastagnol, Françoise Fontaine, Eric Feraille, Marianne Frisch, Franck Laval, Emmanuelle Mercier et Franck-Olivier Torro sont membres du mouvement.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Beaucoup de gens, à Paris, sont moins bien logés que mes vaches » : le désarroi du monde agricole face à l’« agribashing »
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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Claude » 28 avr. 2020, 22:06

J’ai dû le relire. Je suis gêné par ce texte estampillé Nous Voulons des Coquelicots —la tribune ci-dessus—
qui essaie d'établir péniblement une relation en l’épidémie virale et les nuées de fines gouttelettes de pesticides. Les arguments sont boiteux. C’est un poil opportuniste et ça me perturbe.
.
:oops:
On s’étonnera moins, dans ces conditions, de l’appel publié en ligne de scientifiques menés par la directrice de recherche Inserm Isabella Annesi-Maesano, pour lesquels « le printemps est la période d’épandage agricole, grand pourvoyeur de particules fines. En effet, lors des épandages, le gaz ammoniac (NH3) va, en passant dans l’atmosphère, réagir avec les oxydes d’azote (NOx) pour former des particules de nitrate d’ammonium et de sulfate d’ammonium ». Fort logiquement, ces chercheurs appellent « les préfets à prendre des mesures urgentes visant à limiter drastiquement les émissions liées aux épandages agricoles (restriction, technique d’enfouissement de l’engrais) afin de tout mettre en œuvre pour limiter la propagation du virus ».

Certes, on parle là d’engrais, mais les pesticides jouent très exactement le même rôle, ce que personne pour le moment ne dit. Personne, sauf l’Inrae, une nouvelle fois, qui note explicitement, dans des documents officiels datant de l’été 2019 : « Les activités agricoles sont responsables de 28 % des émissions françaises de particules de diamètre inférieur à 10 micromètres, comme les composés azotés ou les pesticides. » Et le texte ajoute que l’agriculture émet plus de particules fines que l’ensemble des transports, d’un côté, et les activités industrielles, de l’autre.

Dans le passage cité, j’ai mis en caractères gras 2 mots qui forment un gros hiatus.

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Marie_May » 29 avr. 2020, 20:06

Est-ce que tu n'es pas en train de pinailler, Claude ? Il te dit (en citant l'Inra) que les pesticides jouent le même rôle que les engrais en ce qui concerne les particules fines. Et il souligne qu'on est en train d'offrir des cadeaux à la FNSEA. Les agriculteurs n'ont pourtant plus pas pâti du virus que les supermarchés, ils ont continué leur petit bonhomme de boulot comme si de rien n'était. Nicolino n'est certes pas plus opportunistes que les pauv' zagriculteurs qui - comme d'autres d'ailleurs, le Medef en tête - profitent du chaos créé par la pandémie pour essayer de grappiller quelques compensations, dégrèvements, assouplissements, dérogations et autres moratoires sur les normes environnementales...

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 02 mai 2020, 18:31

Ce matin au marché, j'ai croisé une jeune femme vêtue d'un sous pull noir et d'une superbe
jupe longue à mi-mollets, noire avec d'énormes coquelicots.
Bien sûr, je l'ai accostée.
Elle ne connaissait pas le mouvement des Coquelicots mais m'a dit être tout-à-fait dans cet esprit
et qu'elle irait voir de quoi il en retourne.
Du coup, nous avons causé chiffons.
Elle m'a dit qu'elle portait cette jupe depuis 17ans (elle, en avait 34) et qu'il y avait toujours quelqu'un
pour lui en faire compliment.
Du coup, je lui ai parlé de celle que j'ai ressortie l'an dernier: longue aussi, dans une toile épaisse
aux grosses rayures bayadère (genre chaise longue) en biais: rouge/vert/jaune.
Achetée en fripe, il y a … houla, plus de 30ans pour rien du tout, alors que c'était une jupe Nioumane.
La qualité, je vous dis pas.
Elle était là parce qu'elle avait, en bas, un peu de cambouis (la nana avait fait de la mob?),
que j'ai nettoyé très facilement, beurre et lessive.
Au marché, trois nanas m'en ont fait compliment.
J'ai eu - et j'ai, en en causant- la nostalgie de ce temps où la qualité régnait.

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Claude » 02 mai 2020, 23:01

MM

Ce texte s’avance beaucoup en liant propagation du nouveau virus et propagation des pesticides. Le propagateur du Covid-19es est un tousseur ou un parleur qui ne porte pas de masque (anti-projections). Ce n’est pas un exploitant agricole.
Les pesticides sont dangereux évidemment mais le parti pris du collectif autour de Nicolino de lier les deux ne semble pas légitime à cette heure.

Si le virus devait être porté par l’air, alors il ne faudrait pas seulement rester chez soi mais fermer portes et fenêtres. Et remonter les vitres et couper la ventilation qui amène de l’air extérieur quand on est en voiture

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Marie_May » 03 mai 2020, 15:54

Je te laisse relire le texte de l'article que TU nous a présenté, Claude. Il me semble que Nicolino ne lie rien du tout mais répète ce que des scientifiques ont émis, à savoir que les particules fines aggravent la situation épidémique.
En revanche il ne dit surtout pas que le virus est porté par l'air. En simplifiant ses propos et en blaguant comme tu le fais, tu le fais passer pour un imbécile. Ce n'est pas juste.

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 19 mai 2020, 21:39

Où êtes-vous, chers Coquelicots?
Si bien entrés dans ma vie
et quasiment déjà sortis?
Vous aurions-nous déjà oubliés,
pris que nous sommes
par le temps coroné?

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Marie_May » 20 mai 2020, 10:17

Ils publient tous les mois. Mais sur le plan des rencontres, évidemment, c'est maigre.
Remarquez bien que les communes ont pratiquement toutes pris des mesures et brûlent les mauvaises herbes des rues plutôt que d'asperger.
Reste le travail à faire auprès des agriculteurs. Et ça, c'est une autre paire de manches. J'avais écrit sur le site des coquelicots, il y a quelques mois, à ce sujet. Et on m'avait répondu fermement qu'il ne fallait pas se mettre les agriculteurs à dos. Donc je me contente de (tenter de) parler avec mes voisins.
L'autre jour, j'étais dans le jardin - et vous vous rappelez que nous sommes dans un hameau loin de tout, entouré de forêts et de friches, sur les pentes des gorges du Lot, avec quelques pâtures à vaches ; les premières terres agricoles sont - à vol d'oiseau - à 1 km au moins.
J'entendais un tracteur sans le voir et me suis aperçu que le fermier Jérôme qui cultive le coin travaillait à je ne sais quoi au-dessus du village. Je suppose qu'il a mis en culture des prés, je ne suis pas encore allée voir. Mais ça sentait très mauvais, pas fumier mais chimique. Il faut que j'aille faire un saut (ou plutôt me trainer vers là-haut) mais j'attends un peu que le produit soit retombé et ne flotte plus dans l'air. Je lui demanderai à l'occasion de quel produit il s'agit, mais il faut y aller mollo, ils sont susceptibles, nos cultivateurs...

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par herran » 30 mai 2020, 17:59

champs de coquelicots au pied du village de Bruniquel dans le 82
coquelicots82.jpg
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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Marie_May » 30 mai 2020, 18:32

Manque plus que les dames et leurs enfants ...

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Claude » 30 mai 2020, 22:18

Mais y a qu’une seule dame et pas de marmots ! Elle a une belle ombrelle bleue.

.
57BF7BB7-E6FE-4065-9B49-A00C52D5F0FE.png
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Re: nous voulons des coquelicots

Message par Marie_May » 31 mai 2020, 00:02

Sorry, regarde bien le tableau de Monet à Argenteuil. Elle a une petite fille à côté d'elle et une autre dame avec un enfant est située plus haut à gauche.
Cela dit merci pour le collage virtuel... Comment fais-tu ça ?

PatriciAndree
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Re: nous voulons des coquelicots

Message par PatriciAndree » 31 mai 2020, 10:11

Chouette paysage et bidouillage sympa. Bruniquel je l'associe avec le fameux cheval.

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Re: nous voulons des coquelicots

Message par plumee » 31 mai 2020, 11:39

Herran, le haut de ta photo coquelicots, mérite le bandeau.
Vite! Vite! Clôture ce soir.

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