ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Un nouveau dossier de l’emission France5, La Quotidienne
aujourd’hui sur les semences paysannes.
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Titre : Semences paysannes : à quand le retour à la raison ?

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MàJ
J

’ai raté la première partie de ce dossier mais la seconde était excellente avec deux intervenants invités super. Je cliquerai demain (la mise à disposition en replay n’est pas possible avant :( ) …… pour profiter de l’ensemble du dossier.

Oui, je veux bien essayer, si tu me dis sur quelle chaîne tu as vu le spectacle.

Oui, je veux bien essayer, si tu me dis sur quelle chaîne tu as vu le spectacle.

Sur la 4, mardi, dont le replay dit que la video n'est pas disponible.

https://www.france.tv/spectacles-et-cul ... -tutu.html

Si tu trouves cake part la vidéo du pestacle, ça vaudra bien un envoi de quelques graines. :D
J'ai même voulu voir pour le commander. Faut s'identifier. Fa caga.

Bonne émission télé sur France Info, émission La faute à l’Europe.
Notamment sur la question de la levée des brevets des vaccins.
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;)

Ce soir, sur C8, un monument du cinéma: Le Guépard de Visconti (Burt Lancaster, Alain Delon, Claudia Clardinale),
un film incroyable, qui dure 3 heures!
J'avais été happée par le livre, conseillé par une prof de français.
Il apprend beaucoup, à travers une famille noble, comment le pouvoir va passer (du temps de Garibaldi) des nobles aux bourgeois.
Quand l'histoire m'est racontée comme ça, je comprends tout!



"Synopsis du film
En mai 1860, après le débarquement de Garibaldi en Sicile, à Marsala, Don Fabrizio Salina assiste avec détachement et mélancolie au déclin de la noblesse. Ces gentilshommes, les « guépards », comprennent que la fin de leur supériorité morale et sociale est désormais proche : en fait, ceux qui profitent de la nouvelle situation politique sont les administrateurs et grands propriétaires terriens de la nouvelle classe sociale qui monte. Don Fabrizio, appartenant à une famille d'ancienne noblesse, est rassuré par son neveu préféré Tancrède, qui, bien que combattant dans les colonnes garibaldiennes, cherche à faire tourner les événements à son avantage. Tancrède explique à son oncle :
« Si nous ne nous mêlons pas de cette affaire, ils vont nous fabriquer une république. Si nous voulons que tout reste pareil, il faut que nous changions tout. »
Lorsque, comme chaque année, le prince Salina se rend, avec toute sa famille, dans sa résidence d'été de Donnafugata, il trouve comme nouveau maire du village Calogero Sedara, un bourgeois d'extraction modeste, fruste et peu instruit, qui s'est enrichi et a fait carrière en politique. Tancrède, qui avait au début montré un certain intérêt pour Concetta, la fille aînée du prince, tombe amoureux d'Angelica, la fille de don Calogero, qu'il épousera finalement, séduit par sa beauté mais aussi par son patrimoine considérable.
L'arrivée à Donnafugata d'un fonctionnaire piémontais, le cavaliere Chevalley di Monterzuolo, marque un tournant dans le récit. Il propose à Don Fabrizio d'être nommé sénateur du nouveau Royaume d'Italie. Pourtant, le prince refuse, se sentant trop lié au vieux monde sicilien. Reflet de la réalité sicilienne, Don Fabrizio est pessimiste : « Ensuite, ce sera différent, mais pire… », déclare-t-il à l'émissaire du nouveau régime.
L'union entre la nouvelle bourgeoisie et la noblesse déclinante est un changement désormais incontestable. Don Fabrizio en aura la confirmation au cours d'un bal grandiose à la fin duquel il commencera à méditer sur la signification des événements nouveaux et à faire le douloureux bilan de sa vie."



Le Guépard (livre)

Éditeur Éditions du Seuil
Lieu de parution Paris
Date de parution 1959
Nombre de pages 256
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Le Guépard (Il Gattopardo) est l'unique roman de l'écrivain et aristocrate italien Giuseppe Tomasi di Lampedusa, paru en 1958 à titre posthume et récompensé par le prix Strega l'année suivante.

Tomasi di Lampedusa y trace la vie de don Fabrizio Corbera, prince de Salina. Un prince sicilien, au milieu des tourments révolutionnaires italiens du Risorgimento. Mais c'est surtout une histoire de la Sicile et de la transition entre un ordre ancien et un nouvel ordre.

L'auteur s'est apparemment inspiré de Giulio Fabrizio di Lampedusa, son arrière-grand-père, pour créer le personnage de don Fabrizio. Les armes de cet aïeul étaient un lion léopardé (c'est-à-dire passant à la façon du léopard1), que l'auteur a transformé en guépard « dansant » dans son œuvre.

L'auteur a déclaré que les réflexions du prince Salina sur la société étaient en réalité les siennes. À l'approche des célébrations du centenaire de l'unification italienne, l'auteur ressentait l'envie de parler de l'opportunisme qui avait selon lui essentiellement caractérisé l'époque, bien loin de l'enthousiasme que présente l'historiographie officielle italienne. Parfois présenté comme un roman « réactionnaire », cet ouvrage est en réalité très critique sur les élites.

Vu plusieurs fois. Je me souviens de la réflexion du vieux noble « Il faut que tout change pour que rien ne change ».
Une remarque qui vaut pour bien d’autres lieux, époques et situations.

Pas fichue de vous mettre un lien sur ce que j'ai vu hier soir sur France 4:

"Picasso, métamorphoses en bleu et rose".
Un document pictural incroyable sur la jeunesse de Picasso en tant que peintre et que personne, loin de l'image qu'on peut avoir de lui.
Comment peut-on, si jeune, dessiner des portraits d'une telle puissance?
Je connais pas mal le peintre, pour avoir, pendant mes études écouté une conférence d'un dénommé René Huygues
de l'Académie Française.
Incitée avec mes copines, par ma directrice.
Près de 2h de conférence avec un déjà vieux monsieur passionné qui cause sans notes avec juste une petite fiche pour
taper sur la table afin de faire changer les images à l'écran.
Un éclairage lumineux sur l' itinéraire pictural d'un homme hors du commun.
A la fin, une salle de plusieurs centaines de personnes, debout, applaudissant à tout rompre pendant dix minutes…
Une expérience inoubliable.

Hier soir, c'était sur sa jeunesse.
Je suis restée scotchée par le talent, que dis-je le génie de cet homme, qui, si jeune a su, en quelques traits jamais vus jusque là,
saisir l'être, voire l'âme d'une personne.
Pas étonnant que son père, peintre pro lui-même ait fini par arrêter de peindre quand il a mesuré ce dont son fils était capable.
Toute cette période avant le cubisme vous laisse sans voix.
Mieux que des photos…

Seul hic: j'ai trouvé le commentaire banal, récité, mal dit et pâlot, à côté de la force des images.

Dépêchez-vous, c’est disponible jusqu’au 6 juin.
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https://mobile.france.tv/spectacles-et- ... -rose.html

Merci, Claudinou.😘

L'autre soir, pendant que vous regardiez le Guépard (vu x fois) on donnait "une affaire de famille" sur Arte. Un film formidable sur une "famille" entièrement recomposée de précaires laissés pour compte au beau milieu de Tokyo. J'ai rarement vu une famille aussi chaleureuse. Le sujet du film (qu'est-ce qui fait "famille" le lien ou le sang ?) est amené peu à peu au fil de l'histoire qu'on ne comprend bien qu'à la fin. Un film qui a largement mérité sa d'or. Du coup j'ai enregistré le doc suivant qui faisait parler le metteur en scène, Hirokazu Kore-eda. J'ai vu le doc le lendemain, il est extrêmement sympathique ce Kore-eda là. Si vous avez l'occasion de voir le film ou/et le doc, n'hésitez pas.

Je crois que le Guépard n'était pas le soir d'une Affaire de famille (film japonais) mais le soir de la Grande Librairie.
Parce que j'ai regardé le Guépard mais aussi le film japonais dont je croyais avoir parlé quelque part… :?:
Hic: ce soir là, j'étais tellement crevée que je n'ai pas pu lutter contre le sommeil, mais j'en ai vu un bon bout quand même
et je l'ai trouvé plus que sympathique: chaleureux, drôle, émouvant, bien joué, bien filmé, bref, bien tout tout tout.

... et endormant...!

:lol:

:P

Bicarbonate et vinaigre (sérieusement) en question ?

raphael@allodocteur.

Ėmission du 04.06.21 de France5 ´: Le magazine de la santé.

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https://www.allodocteurs.fr/recherche/? ... ld=Raphael

Sur France Inter en ce moment, l'émission de François Régis Gaudry que je croyais un papy mais pas du tout!
Thème: la transmission en cuisine, autrement dit, la cuisine de ma maman (ou parfois mon papa).
Super sympa.

Nom de ton emission : On va deguster.

Et le lien : https://www.franceinter.fr/emissions/va-deguster

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:x

C'est celui qui se croit obligé de mettre le lien qui fait la tronche? :lol:

Tout-à-l'heure, France Inter, la Terre au carré de Mathieu Vidard:
l'écologie pour tous

https://www.franceinter.fr/emissions/la-tete-au-carre

des infos que vous ne verrez nulle part dans les grands médias, pour cause de domination financière. Les plateaux télés sont envahis par les mêmes, le risque que ça change ne passera pas par là...
https://video.blast-info.fr/videos/watc ... d4d47be402
https://www.blast-info.fr/

j'ai cru entendre que nicole ferroni avait été lourdée de france inter, quelqu' sait de qui se passe?

:shock:

Une décision partagée, dit-elle: "On se quitte avant de ne plus s'aimer".

https://www.huffingtonpost.fr/entry/nic ... eea49d9939

Je trouve que les humoristes qui ont un RV régulier, on finit par s’en lasser. Ce fut pour moi assez vite le cas avec dame Ferroni. Ses jeux de mots et son débit trop saccadé……

Un mot pour dire que le terme d’humoriste est erroné. L’humour c’est essentiellement de rire de soi-même. Quand on rit et fait rire d’autrui, il vaudrait mieux parler d’ ironiste.

bon, elle parle un peu vite, mais le temps d'une chronique de 2 ou 3 mn, c'est pas la torture, par contre, je plains ses proches, ce doit être intenable!
et, comme on dit, les jeux de mots laids, font de belles jambes, vous laisse m'éditer là dessus!

Ça dépend quand même des jambes.