ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Oui il y en a une et il n'est pas aimable lorsque quelqu'un s'approche de la clôture !!!

Ége,

L’empreinte... Bien vu. Et merci.

…… c'est ce que Konrad Lorenz ou Irenaeus Eibl Eibesfeld (un de mes profs d'éthologie)
appellent "Prägung", l'empreinte.

Mais pourquoi déroges-tu à ta règle de suppression des majuscules !? :mrgreen:
Tu as une formation d’éthologue ?

oui, ça m'arrive parfois pour des célébrités, du style "Seigneur", "SSEM" pour Sa Suffisance En Marche, et "TT" pour Tutti Quanti;
un vieux reste de conventions!

l’Éthologie, de fût et c'est mon dada, j'ai même commis une humble participation sur le thème de la mimique comme déterminant de la prise de contact!

Réception musclée d’un intrus.
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exactement, les sourcils relevés de cette façon, c'est pas bon pour approcher!

Hier, en passant près du grand abri au milieu du jardin, j’ai entendu des pleurs qui m’ont guidé à déplacer qq objets encombrants pour découvrir le minuscule chaton qui appelait à l’aide. Instinctivement, j’ai pris cette boule de poils gris d’un gris moyen semblable au gris velouté du chat qui avait été pourchassé par Gatto la veille. Je le maintenais contre mon sein mais il cherchait soit à remonter vers mon cou soit à se dégager de ma prise manifestant ainsi une belle vivacité.

Madame Claude m’a convaincu de le remettre à sa place. Ce que j’ai fait. Ce matin, il n’y a plus rien. Plus de pleurs, plus d’appels, plus de chaton gris à tête léonine. J’espère que sa mère est venue le récupérer.

Le char gris chassé par Gatto était donc une chatte. Voila une toute petite anecdote de la vie des animaux à fourrure.

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Rue, Ruta graveolens.

La rue, une plante toxique, est un répulsif pour certains insectes, comme les pucerons. Elle est également réputée éloigner les vipère (?) et éloigne les chats.

« Depuis la rédaction de ce livre, il m'a été possible d'obtenir quelques branches de rue, dont j'ai testé l'effet sur ma chatte. Placées sur le tapis, les petites feuilles vertes ont attiré son attention et elle est venue les renifler. Mais lorsque j'ai frotté les feuilles entre mes mains et que je lui ai tendu les doigts pour qu'elle les sente, sa réaction a été tout à fait spectaculaire. Elle a levé le nez vers ma main, essayé de reculer d'un bond, puis elle a ouvert la bouche et essayé de vomir. Ensuite, elle est partie d'un air digne, refusant de répondre à mon appel. Après m'être lavé les mains, j'ai essayé de faire la paix avec elle, mais quand j'ai voulu la caresser, elle a sifflé. Dix minutes plus tard, elle miaulait, si je m'approchais d'elle. Il m'a fallu des heures pour me faire pardonner et pour qu'elle cesse de me traiter comme un flacon ambulant de produit anti-chats. »

— Desmond Morris, zoologiste, Le chat révélé, éd. Calman-Lévy, 1995.

la rue peut se consommer!

c'est un ingrédient traditionnel du "pastis" d'avant l'ère industrielle!
avant que les ricards pernod soient obligés de chercher un substitut à l'absinthe,interdite pour cause de présence d'alcaloïdes dangereux pour le système nerveux 'en cas de conso abusive) mais,surtout fabriquée avec de l'alcool quelque peu frelaté, le pastis -en occitan, ça veut simplement dire "mélange", chaque famille avait SA recette pour ce produit destiné, non pas à l'apéro, mais à améliorer le goût de l'eau du puits, une eau souvent médiocre en pays calcaire comme la provence par exemple.
entraient dans la composition du pastis, de l'alcool, souvent de la "fine" le résultat de la macération et de la distillation de la grappe du raisin dans de l'eau, en español: "grappa", et une tisane composée des herbes de la garrigue: thym, romarin, fenouil, ... et rue, ajoutée en petite quantité pour son amertume.

quand j'étais petit, tout touriste, qui venait faire un jour de vendanges par exemple, se voyait proposé de ramasser un brin de cette jolie herbe et de la frotter dans ses doigts et "l'indigène" se fendait la pêche à son air dépité!!

un autre jeu consistait à lui dire d'utiliser des feuilles de figuier en cas de besoin pressant à satisfaire dans la vigne!

c'était une époque de blagues basiques et pas méchantes!!

À utiliser avec modération donc.

Un peu mais pas trop et avec d’autres plantes. Et toujours le « en même temps » si à la mode.
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:lol: :lol:

eh ben, on en lit de belles dans le dernier n° de la Hulotte, le journal le plus lu dans les terriers, consacré à Pierrot le moineau: vous regarderez le greffier d'un autre œil ce soir!!

Le Ⓒ ne te dérange pas ? :cry:
Il n'y a que 3 jours que je l'ai reçu alors ce serait bien de ne faire ce genre de copie qu'avec de très anciens N°.

Tu aurais pu expliquer avec tes mots en précisant que tu l'avais lu dans la Hulotte.

Reçue aussi et pas encore lue.

Le copyright est la protection de droits d'auteur, mais le droit à citation en précisant la ou les sources reste possible si le texte ou illustration mentionne la source : nom titre de l'article, revue, etc. Ce n'est pas toujours le cas dans bien des citations. En l'occurrence, ege cite la revue mais pas le n° et l'auteur, il n'y a que demi-faute mais il faut rectifier, ege.

Photo Gato bandeau ?

mauvaise pioche marc, si tu connaissais "la hulotte", tu saurais qu'il n'y a qu'un seul "journaliste" en l'occurrence, l'auteur, Mr Déon (avec une majuscule) qui fait ça depuis au moins tente ans! que dis-je, en 1989, il a fait un n° spécial sur la cardère et ce devait être le 32° n°, et le n°, je l'ai cité: le dernier n°

Je ne lis pas la Hulotte et pour moi le dernier numéro......d'après ce que je vois en ligne, tu parles sans doute du n°110 ?

et si tu vas "au" marchand de presse et demandes le dernier n°, le marchand il ne sait pas non plus?
ben heureusement que si! ;)

Chien coincé par sa gourmandise.
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Hum !
Je vous épargne la photo !
La gourmandise de l’ animal dont j’avais publié le portrait est répugnante. Je ne vais pas tout narrer. Alors soyez attentifs.

:twisted:

Il y avait une crotte de la chienne de notre locataire au milieu de ma terrasse. Une de celle qui aime les semelles des braves gens. Fallait que je la supprime du passage. Mais je remettais l’opération à plus tard. J’avais pourvtarder une bonne excuse mais j’ai oublié laquelle. Si j’avais fait ce qu’il fallait, je n?aurais pas eu matiere à vous importuner avec ça.

J?étais de retour sur la terrasse. Arrive la dite chienne. Tout à coup, sous mes yeux, la bête s’arrête devant sa propre production se penche et en fait sans barguigner, son goûter, elle le fait en prenant tout son temps. Elle paraissait apprécier.

Je sais bien que certains animaux comme les lapins boulottent leurs crottes mais bon, c’est légal, c’est normal, avec des intestins courts, faut bien refaire un cycle d’assimilation pour ne rien gaspiller, et la crotte de lapin est plus sympathique que l’étron ordinaire. Je ne me rappelle plus le terme savant pour parler de ce comportement antigaspi qui doit exister chez certaines espèces animales.

Pour les chiens, avez-vous entendu parler de cacannibalisme !? Est-ce une maladie ? Serait-ce un dérangement mental propre à l’espèce cacanine ? :twisted:

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Je ne sais pas vous, mais moi, je n’ai plus trop envie de le caresser cet animal. :oops:

ouais, c'est fréquent et normal pour les clebs, coprophagie!

et encore, quand ils le bouffent, ça va, il n'y a pas d'effluves collatérales, mais quand ils se roulent dedans............

Oui, principalement chez les chiots, parce qu'ils voient leur mère manger leurs crottes, sans doute. les adultes le font aussi, parfois, pas régulièrement. Je crois que c'est une fonction naturelle, sauf si c'est régulier, dans ce cas cela signifie qu'il y a un manque dans la nourriture qu'ils compensent. Mon toutou, a 12 ans le fait parfois. Si le réflexe est de tenter de l'empêcher, il ne faut pas le manifester durement, ça ne doit pas représenter une punition. Et puis quand c'est fait...il vient vous faire une léchouille ! :lol: :lol:

Bon, si vous voulez, on a assez parlé de circuit … court.

Le mouvement perpétuel ?

mais quand ils se roulent dedans............

J'avais un tout petit chien, un petit machin à poil ras qui venait d'Afrique du nord, genre fennec.
Un vadrouilleur de première.
C'était son habitude de manger les bouses, les crottes de mouton et autres et de se rouler dedans et aussi sur les charognes.
Bref, petit par la taille et dégueu par le comportement.
On habitait la campagne. Au moment de partir au boulot - à l'époque toute coquette, maquillée, pomponnée, parfumée-
je sifflais ou gueulais un bon coup et il rentrait.
Un jour, il est arrivé complètement plâtré de ce que vous savez.
Il avait innové avec de la bien molle de quelqu'un qui aurait posé culotte en catastrophe, derrière un buisson.
Ça puait encore plus que vous pensez.
Comme une bécasse, je me suis crue obligée de le laver pour le laisser à l'intérieur.
Des décennies après, je me suis demandée pourquoi je ne l'avais pas laissé dehors… :roll:
J'ai parfois des réactions d'une intelligence qui me laisse pantoise.
Merci de me faire remarquer que j'ai eu de la chance: il avait le poil ras. :lol: