IDENTIFICATION • Végétaux + le coin des fleurs

[Claude]

Aujourd’hui, j’ai pris en photo un arbre à fleurs d'orchidée, Bauhinia variegata,
Il se trouve juste à côté du précédent arbre présenté,
(c’était un arbre à corail indien ou griffe de tigre, Erythrina variegata)
entre l’aéroport et le Parc Phœnix. On est sur la Prom’
.

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[Brigitte]

Claude, je n'avais pas vu ta question...quand je vivais à Nice, j'habitais dans le quartier Saint Roch, à l'époque mon père était militaire et il y avait toute une suite de bâtiments qui logeait les militaires...rue Maréchal Vauban.. que de bons souvenirs !

[Claude]

Claude, je n'avais pas vu ta question...quand je vivais à Nice, j'habitais dans le quartier Saint Roch, à l'époque mon père était militaire et il y avait toute une suite de bâtiments qui logeait les militaires...rue Maréchal Vauban.. que de bons souvenirs !

Ça alors ! Tu me parles peut-être de la caserne Auvare où j`ai passé qq semaines en 1969 à subir un apprentissage comme opérateur radio. Ce qui ne m’a pas réussi !

Mon quartier d’enfance c’était le quartier Florès, dans le bas du quartier Pasteur. Mon collège c’était Risso.
.
:mrgreen:

Niçois donc. Mais je ne parlais pas nissard.

[Brigitte]

Nonnnn ? La caserne Auvare !!! Mon père était effectivement à cette caserne, il avait le grade d'adjudant chef et il était dans les transmissions...je me souviens que le commandant était un corse, un monsieur très gentil qui lui a raconté tellement de blagues corses...
Du coup je ne me souviens pas exactement précisément des dates à laquelle nous sommes arrivés à Nice, fin de l'année 69 ou debut 70...

[Claude]

Hè ! Hė ! J’ai pu croiser son chemin. En décembre ou janvier ou février seulement.
Mais ne me dit pas son nom. Je ne conserve en mémoire aucun nom de cette époque !

Il est possiblexzqu’i npuisse se rappeler de moi, j’étais le seul appelé incapable de marcher au pas ! Du coup, au lieu de défiler dans la cour de la caserne au son de la musique militaire, comme mes copains —pourtant je donnais des signes de bonne volonté en essayant fort maladroitement de me mettre au pas—, alors j’ai fini cette deuxiëme étape de ma vie en uniforme empêché que dis-je privé de défilé, et consigné dans ma chambrée. Pépère. C’était un dortoir si je me rappelle bien, cela ne ressemblait pas à une suite d’hôtel.

Puis je me suis retrouvé —3ème phase — dans la région parisienne à conduire non pas une jeep ou un tank mais une machine à écrire et occupé jour après jour à noircir du papier pelure de trois couleurs différentes. Ce long entraînement m’a servi par la suite professionnellement parlant une fois revenu à la vie civile.