ICI L'ON SÈME...... Prenons-en de la graine

Claude, tes fans inconditionnels sont impatients de connaître la suite (et la fin...) du feuilleton (ah M...e, maintenant, on dit série!)sur les aventures de ta voiture diabolique...Pitié, ne nous fais plus languir! :cry:

Après plus de deux mois au volant d’une 206 avec un petit coffre, j’ai récupéré le Ford transit connect, il y a 5 jours. Ça va, je suis content. Le voyant moteur orange n’est plus allumé. Hum ! Mais je reste sur le qui-vive. .

Le Ford a transité dans 4 garages différents. Le spécialiste de l’avant-dernier garage qu’on m’a présenté comme une pointure avait été choisi pour faire seulement un diagnostic qui incriminait (si j’en crois ce qu’on m’a dit) une vanne EGR et un collecteur papillon (avouons que j’ai fait des progrès en vocabulaire automobile puisque je me souviens de ces appellations, moi qui suis ignare en mécanique).
O
Puis le vendeur (qui est un dépanneur et dispose d’ un camion ad hoc) l’a récupéré pour le refiler à un garage Ford possédant, lui, un véhicule identique pour que l’on puisse faire des « inversions » de pièces, histoire de confirmer le diagnostic, avant de commander ces pièces et de terminer la réparation. Voilà j’ai bien pressuré les durites qui moisissent entre mes oreilles pour te dire ce que j’ai compris ou cru comprendre. Le jeune vendeur a tenu à me préciser pour information, que la pièce avait coûté 500 roros, et son père a parlé d’une dépense d’env. 1000 roros. J’imagine que la différence correspond aux frais de main d’œuvre.

Si l’anomalie était arrivée après le temps de garantie, je me demande comment je m’en serai sorti. :?:
Après coup, je peux avancer que j’ai eu raison de faire preuve de patience alors qu’on me pressait d’aller à la gendarmerie !

Mon propre mécano a essayé le véhicule. Il était satisfait. J’ai l"impression de conduire un véhicule neuf, disait-il. :D Moi aussi, j'apprécie le bruit de ce moteur puissant. Mais quand je roule j’ai tous mes sens en alerte. :roll: Ce qui est fâcheux car j’aime bien faire la sieste en roulant.

L’autre fois, j’ai roulé dans un gué. Il devait y avoir 10 ou 20 cm d’eau. :o Et grosse alerte ! Branle-bas de combat, j’ai entendu une sorte de grésillement (électrique ?) 30 secondes plus tard. Mon mécano m’a expliqué qq chose ayant un rapport avec l’échappement ……

;)

Le pot d'échappement a dû faire quelques bulles! mais s'il était bien chaud le séchage a été rapide.
Merci Claude. Tes fans sont rassurés! Longue route avec ton bolide, mais essaie quand même d'éviter les rivières...ou troque ta voiture pour une amphibie :lol:

quand j'étais môme il y en avaent plein de ces machins, mais ni bons sur la route (tenue de route), ni bons dans l'eau (étanchéité)!

Six degrés ce matin.
Vendredi : journée de pluie annoncée avec une certitude de 100%.

Faut que je continue à déposer des couches de compost et de broyât au pied des plantes les + plus fragiles.
Ai trié des ferrailles.

Journée pluvieuse comme prévu. Du coup, je me suis mis en pause. Et bizarrement, ça me fatigue bien plus.

Journée pluvieuse aussi! Donc hibernation. Et ça ne me fatigue pas du tout :P

J’en suis bien content pour toi.

;)

Faut dire que porter des obsessions comme celles que je développe
c’est gros joueur. Alors quand vient un moment de pause je dis Pouce.
Mais être chichiteux, franchement, je me sens tout ramollo
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:D :D :D

Jeu de lumière et de transparence.
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ça prouve au moins que tu as du soleil!

Du soleil un jour sur deux en ce moment.
Voici aussi les premières neiges.
Vue sur St Martin et les premières montagnes
concernées par les neiges du premier week-end.
Elles sont « masquées » :lol: par une écharpe de brume.
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Et voici la première fleur du Dahlia imperialis. Ce pied est
en contrebas de la maison et donc dans l’ombre une grande partie du jour !
Hélas ! J’ai mal choisi son emplacement.
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Journée Ferrailles.
Tri et remplissage d’une benne prêtée par un ferrailleur.

HEP, coucou ! lève-toi le claude.

Le soleil est entré dans la chambre et me fait ses avances, il me dit de sortir malgré le froid.

J’aurais bien aimé trouver de la bonne terre de jardin pour disposer d"un substrat intéressant derrière les murs récemment créés mais je n’en ai pas.
Alors j’en « fabrique » en mélangeant du compost et du terreau très bon marché et de l’argile grise.
C’est un pis aller évidemment.
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Fragmenter l’argile prend du temps. C’est chronophage.
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Et tu ne pourrais pas faire un appel à terre, à ton portail, comme pour les végétaux?

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J’ai toujours été attiré par la vue de l’eau sous toutes ses formes.
Ce matin, les premiers rayons de soleil sur des blettes et des choux
encore couverts de rosée. Il était déjà 11 heures.
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Gouttelettes de différentes tailles.
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Nouvel accident de broyeur. C’est le boulon assujettissant le disque de rotation qui a cassé d’un coup deux minutes seulement après le démarrage. Heureusement cet appareil était sous garantie. J’ai fait un échange.

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J’ai acheté un pommier de la variété Juliet dont j’apprécie les pommes (une des meilleures variétés découvertes à la Ferme bio du coin). Me reste à trouver où creuser son trou.

tu as encore besoin de creuser des trous? je croyais qu'il ne restait que quelques chemins "en dur" chez toi!

J’en ai encore pour 20 ans !
Et peut-être bien plus si je me décide à créer un habitat troglodyte. Le poudingue se prête bien au creusement de cavernes.

Nous sommes allés chez nous dans la petite maison du 04
avec un chargement de bois de chauffage. C'est à env. 1000 m.
Il reste qq plaques de neige.
Un troupeau de brebis paissaient.
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Dans le jardinet, à 1000 m d’altitude, après un peu de neige,
alors que le thermomètre a déjà dépassé (vers le bas) les —10°
tout ne dormait pas. Quelques choux plantés à l’automne,
et même une fleur ignorante du calendrier,
je suppose qu’il s’agit d’ une jonquille du printemps (?).
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Notre courageuse vigne et sa nouvelle « tonnelle » écroulée.
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Réveillé depuis une heure, je paresse au lit après m’être jeté un cafė bien long derrière la cravate. Ben oui, je dors en cravate. C’est permis. Au lit, pas de masque mais cravate de rigueur !

J’ai remarqué que je réussissais à me lever quand dans mon esprit au début brumeux, le travail à faire m’apparaissait de plus en plus clairement comme si un observateur devant la chose à faire en premier. Ce matin donc, je vois quelques grosses pierres à déplacer ; quand l’image apparaîtra de façon plus réaliste, je mettrai enfin le pied par terre. Comme pressé.

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Oh ! Mon réveil vient de me lancer la chanson des Scarabées : The long and winding road.
Pffftttt ! Pas trop envie de me retrouver dans le vent froid du matin !